Blédard Posté(e) : 3 décembre 2008 Posté(e) : 3 décembre 2008 Frontières...encore et toujours En 2007 j'avais effectué 2 longs voyages solitaires (Libye et Mauritanie) en retenant les services d'une voiture accompagnatrice conduite par des locaux pour un tracé que j'avais concocté. En juin 2008, je retrouvais un copain pour une virée au Maroc. En novembre 2008 j'intégrais un groupe organisé en partance pour l'Egypte, acceptant de manger mon chapeau : en effet je m'étais promis juré de ne plus jamais repartir sous cette forme! Certaines réactions lues ci et là sur le blog m'avaient fait craindre le pire: j'étais devenu un "has been"…il fallait bien que ça m'arrive un jour…en fait, ça pourra attendre encore un chouïa. Je peux développer plusieurs thèmes …si certains trouvent un intérêt à une expérience vécue récente. Je commence par le passage des frontières qui fait fréquemment couler beaucoup d'encre. 1. Le passage des frontières en général: Je pense qu'il est plus facile de franchir certaines frontières en solo qu'en groupe organisé ou non. Février 2007: je suis bloqué à la frontière Tunisie/ Libye. Le douanier Libyen a "découvert" mon vinaigre balsamique… 6° d'alcool! Surtout que j'ai bien d'autres choses à cacher! Il en fait tout un plat. L'affaire sera réglée sans casquer après palabres. Mes ennuis ne font que commencer puisque mon passeport rempli en deux ans m'a été renouvelé pour les huit années restantes avec un nouveau numéro; les ordinateurs tournent et relèvent que je suis entré l'année précédente sous un autre numéro et un passeport récent! Comble de malchance, mon visa pris par l'intermédiaire de monsieur Shibani à Paris mentionne en arabe mon entrée en Libye par la voie des airs…. Enfin, un problème de décalage horaire entre la Tunisie et la Libye retarde la jonction avec mon "accompagnateur". Malgré tout cela, le passage des frontières m'a pris moitié moins de temps que cette année en groupe organisé (7 véhicules). Je récupérerai de surcroît la caution des mes plaques à la sortie comme d'habitude, alors qu'elle passera en pertes et profits avec le groupe aux deux postes frontières Tunisie/ Egypte… Mauritanie octobre novembre 2007…passage bon enfant Maroc/ Mauritanie; je partagerai le thé avec le capitaine Marocain… Au retour mon visa Mauritanien n'est plus d'actualité…dépassé de plusieurs semaines puisque pris à la frontière en entrant (3 jours). Un policier perspicace, un tout petit arrangement et je peux poursuivre sans perte de temps. L'année précédente j'avais validé mon carnet de passage en douanes pour l'entrée coté Nema à la sortie coté Maroc (pas de tampons à Nema!). Maroc juin 2008. Je ne passe même pas la douane par les quais! Je suis dirigé directement sur le port de Tanger papiers promptement remplis…avec GPS et CB parfaitement visibles tellement les choses sont allées vite. Très rapide également pour le retour, sans fouille ni perte de temps. 2. Le passage des frontières avec le groupe novembre/décembre 2008 (7 véhicules clients). Novembre 2008. Tunisie, la Goulette en groupe organisé…très rapide, sans fouille; les antennes CB ont été rangées sans précautions particulières. Les GPS sont en place. Idem pour le retour en décembre 2008. En revanche très longues formalités pour entrer en Libye (5 heures) et surtout Egypte 8 heures …après la sortie de Libye qui n'est pas un cadeau! C'est démentiel: Inventaire complet des accessoires du véhicule (vitres électriques, toit ouvrant etc.); un copain a même été obligé de démonter un compresseur dans le compartiment moteur qui masquait la fin d'un chiffre!!! Le retour ne nous prendra "que" 4 heures pour la douane Egyptienne et autant pour la Libye…Nous dormirons entre les deux postes frontières sur un parking bien cradoque et bruyant…forcement. Le retour douane Libye Tunisie sera du même ordre:.4/5 heures… Nous ne récupérerons pas les cautions des plaques libyennes lors de la sortie vers l'Egypte…ni sortie Tunisie… Pourtant en groupe, tout devrait aller plus vite puisque tout est préparé et transmis à l'avance avec listing des personnes et des biens. C'était ma première entrée en Egypte par la route. Je pense que je pourrais faire mieux en termes de temps en me déplaçant Solo.
ga13250 Posté(e) : 3 décembre 2008 Posté(e) : 3 décembre 2008 merci pour le compte rendu, c'est sur que ça fait réfléchir...
piersophie71 Posté(e) : 3 décembre 2008 Posté(e) : 3 décembre 2008 Et bien les formalités sont loins d'être simples !
xav31 Posté(e) : 3 décembre 2008 Posté(e) : 3 décembre 2008 tu avais le fameux carnet de passage en douane delivré par Automobile club ou autre on attend ton carnet de voyage
Blédard Posté(e) : 3 décembre 2008 Auteur Posté(e) : 3 décembre 2008 retour Egypte, suite. Les contrariétés administratives durant le raid; c'est sûr…ça devient vraiment compliqué pour un organisateur et pénible pour les clients.. Départ de Gènes à bord du Carthage. A la Goulette, les formalités de police et douanières ont été une simple… formalité pour le groupe. Nous devons rejoindre un hôtel situé à Gabès que nous atteindrons tardivement, chacun roulant à son rythme suivant l'itinéraire de son choix. La ville baigne dans une sorte de marigot suite à d'importantes pluies. Toujours le même temps de m…le lendemain au lever vers 5 h 30 puis direction Ras Jédir avec l'espoir de se présenter tôt aux postes de douanes, si possible avant d'autres groupes…peine perdue puisque nous sommes devancés par d'autres formations grassement pourvues en véhicules clients. L'attente durera environ 5 heures sans nous offrir la liberté espérée. En effet une directive récente oblige la formation en convoi sous la responsabilité d'un policier pour traverser la Libye par la route côtière. Nous évitons la voiture ouvreuse, l'organisateur prenant ce dernier à son bord; nous pensons avoir évité le pire. En fait, nous décrochons le pompon car ce policier est un vrai malade hystérique! 7 véhicules clients plus l'organisateur ne peuvent rester en convoi dans la circulation démente direction Tripoli. Nous sommes à la nuit tombante sur le périphérique de la capitale; le groupe explose sans savoir qui est devant, qui est derrière. Pas pour très longtemps. Notre flic nous fait bloquer par téléphone par des militaires en poste sur un barrage. Lorsque le reste du convoi arrive, l'organisateur à la tête comme une courge tellement le policier l'a saoulé en hurlant des heures dans le téléphone pour nous faire arrêter. Comme si le convoi ne suffisait pas, nous apprenons qu'il nous est interdit de rouler de nuit en Libye. Le flic exige que l'on retourne en arrière pour qu'il puisse dormir à l'hôtel! Le notre retenu à Syrte est devant…à quelques 2 ou 300 km. C'est l'émeute…finalement l'affaire s'arrange par la bonne volonté des militaires et quelques appels téléphoniques…c'est que l'affaire est importante! convoi serré jusqu'à Syrte que nous atteindrons vers 23 heures. Difficulté dans la distribution des chambres puisqu'un couple (homme femme) ne semble pas pouvoir disposer d'une chambre commune. En revanche partageant une piaule avec un pote, je dois revenir à la réception pour obtenir difficilement 2 lits! Enfin tout s'arrange…jusqu'au lendemain où nous attendrons une bonne heure la venue de notre policier lequel "aurait oublié" de se lever. Hôtel avant la frontière coté Libye; lever très tôt…pour ressortir coté Egyptien vers 16 h 45; plus de 8 heures de formalités et de galères coté égyptien pour pénétrer en Egypte! Certains disposaient d'un carnet de passage, d'autres non car l'organisateur avait indiqué que ses groupes en était dispensés. Sentiment de liberté pour rejoindre l'hôtel à quelques 300 km de la frontière…illusoire puisqu'au retour nous serons bloqués sur la route pour formation en convoi avec voiture de militaires égyptiens en tête… A partir de Siwa nous serons sous le contrôle permanent d'une organisation égyptienne dont l'un des véhicules a embarqué un jeune capitaine, heureusement très intelligent et super sympa. Multiples tracasseries pour l'organisateur qui ne répercute bien entendu pas tout à ses clients…sauf gros problèmes qui ne peuvent être cachés trop longtemps. Ainsi à la sortie du désert blanc, nous apprenons qu'un couple doit quitter le circuit pour rejoindre le Caire et attendre notre retour. Le motif? La liste détaillée transmise par l'organisateur à son "partenaire" égyptien a été enregistrée par ce dernier puis transmise à l'Autorité égyptienne pour l'obtention des diverses autorisations de circuler. Une voiture a été oubliée par ladite Autorité. Bien entendu les copains disposent du permis de circuler, mais une autorisation manque. C'est non rattrapable y compris par bakchich. Transgresser l'interdiction signifie prison et ne plus remettre les pieds en Egypte pour les clients. Dans les faits, le couple de copains remontera de nuit vers le Nord pour se faire enregistrer, redescendra plein Sud ensuite par le goudron sur Dakhla. Nous referons jonction dans cette ville un jour plus tard pour rejoindre le Gilf el Kebir sans jamais approcher d'un poste, rusant pour n'afficher que le bon nombre de voitures. Malgré les longueurs et les attentes, le retour par la Libye sera mieux perçu en raison d'un jeune policier sympa qui ne passera pas son temps à nous pourrir la vie. Nous respirons une bouffée d'air en arrivant sur le sol tunisien; nous nous déplaçons "librement"…comme quoi tout dépend où tu places le curseur.
ga13250 Posté(e) : 3 décembre 2008 Posté(e) : 3 décembre 2008 put.. quelle galère, j'espère que le plaisir de rouler la bas a justifié autant de désagrément...
Blédard Posté(e) : 4 décembre 2008 Auteur Posté(e) : 4 décembre 2008 Retour Egypte suite Au cœur de la cible: le désert Nous quittons notre hôtel de bonne qualité situé à 30 km de Matrüh pour rejoindre Siwa librement (enfin presque); Le circuit préparé par l'organisateur est de toute beauté sur tout le parcours mais nous sommes beaucoup trop bousculés par le temps non maîtrisé; c'est un euphémisme!!! (cela pourrait faire l'objet d'un développement spécial…à charge!). Siwa est une oasis très agréable qui dégage un charme certain; l'eau omni présente depuis la nuit des temps reflète son histoire (temple de l'Oracle) et ses mirages (l'armée de Cambyse). Nous rentrons sans transition dans le sable mou pour rejoindre le désert blanc puis nous remontons toujours hors piste pour accrocher la piste des Anglais qui nous permet d'atteindre Dakhla. Ravitaillement dans cette oasis et cap sur le Gilf El Kebir; en raison des récents enlèvements, de l'existence de mines et des copains rattachés à nouveau au groupe depuis Dakhla (voir ci-dessus). Le mausolée du Prince Kemal sera notre point Sud extrême. De toute façon, dans notre configuration, nous ne pouvions descendre plus. l'organisateur dans sa brochure déterminait une boucle de 1400 km avec une sécurité de 20 litres…la boucle en réalité faisait 1600 km; j'ai été imprévoyant dans mes calculs et donc le premier en panne sèche…j'ai certainement perdu des litres précieux lors des pleins car le gasoil mousse beaucoup… Je n'ai pas attendu pour laisser la place au suivant à la pompe… Les paroles d'une grossièreté, d'une violence stupide et inadmissible de l'organisateur à mon égard m'oblige à lui répondre que je ne l'ai pas attendu pour grandir et que je ne suis pas un mendiant; Aussi les 150 litres de gasoil de réserve, qu'il se les garde pour lui…qu'il se casse…je saurai attendre un ravitaillement et en assumer le coût…qu'il progresse avec le groupe et je suis prêt à lui signer une décharge….ambiance… Malgré les insultes, je suis serein: rester seul dans le désert ne m'a jamais posé aucun problème; de toute façon tout le groupe roule vraiment à l'économie depuis 2 jours…personne ne finira la boucle sauf ravitaillement dans un jour, deux au maximum… C'est la solution retenue finalement; le chef m'octroie du carburant pour la journée; un appel par téléphone satellite, un point GPS dans la grande mer de sable et nous sommes livrés: 450 litres de gasoil…yallah…affaire classée. Le Gilf : Il y a les choses à voir : balises, mausolées Kemal et Samir Lama, Abou Ballal, 8 bells, grottes, passe d'Aqaba….Il y a surtout le formidable choc ressenti à longer ces parois abruptes, à monter sur le plateau, à rouler dans l'Oued Melik; vraiment d'une très grande beauté. De très grands moments. La grande mer de sable? Personnellement je la trouve encore plus belle coté Egyptien que Libyen…peut être l'orientation et l'horaire… Synthèse: Le circuit est superbe, entièrement hors piste; Que du sable mou de chez mou…même les étapes qualifiées de roulantes entrainent une surconsommation de 30 à 50 % L'organisateur est un professionnel, très bon ouvreur. Nous saurons rester, l'organisateur et moi, sur le correct pour la suite. Il est vrai que je ne suis pas forcement un cadeau pour un organisateur car j'ai horreur d'être sous formation de petit train strictement dans les traces, en file indienne, absolument sans aucune initiative …ce n'est pas ma conception du désert…de ma liberté. Attendre sans savoir quoi pour être conduit à la queue leu leu vers on ne sait pas quoi…ce n'est pas mon truc. Je suis comme ça. Cela n'engage que moi, mais j'ai l'impression que l'organisateur s'em…à nous traîner comme moi à le suivre. Je crois que je peux comprendre!!! Le groupe était vraiment sympa; de vraies amitiés se sont liées. Nous sommes tous unanimes sur un point: ce circuit magnifique sur toute sa durée exige une semaine de plus…minimum, le timing devrait être mieux maîtrisé, les explications satisfaisantes…puisque nous n'avions pas de road book, pas de points GPS, même pas un point de réserve en cas de problème. Un très beau circuit qui me laisse sur ma faim. PS. Pour ceux qui se posent des questions sur une ou deux roues de secours: 2 véhicules ont éventrés 2 pneus sur des cailloux…ils serraient les fesses avec leurs mèches inutiles…
xav31 Posté(e) : 4 décembre 2008 Posté(e) : 4 décembre 2008 il y a des choses magnifiques a voir mais faut le temps NSE prevoit 1500 km d'autonomie (dement) as fait le bilan de ta conso?? qui es ce qui avais le road book?ou GPS?? l'ouvreur- organisteur ou l'organistion egyptienne
Blédard Posté(e) : 4 décembre 2008 Auteur Posté(e) : 4 décembre 2008 retour...suite L'égyptien sous traitant avait exigé de piloter dans le Gilf mais accepté non sans mal de passer la main à l'organisateur dans le sable; Heureusement! Sympathiques les égyptiens…des villes: Le patron: un homme d'affaires vivant au Caire scotché dans son 105 de 2006 déjà bien tapé, accompagné de son boy et du jeune capitaine. Il trimbalait un tas de choses inutiles pesant une tonne…WC chimiques??? Barbecue??? Etc. Efficace toutefois dans la gestion de la crise du gasoil…et pour réguler une crise de saharite aigüe apparue dans une voiture, un coéquipier repartant par avion!. en fait du classique! Un autre égyptien, un "indépendant", avec un Toyota poussif pour renforcer l'équipe…de la ville aussi celui là, mais vrai habitué du désert. Nous n'avions rien à demander puisque nous n'avions rien à savoir car… rien à prévoir…juste à suivre, à se laisser vivre et arriver sur les sites à la queue leu leu. "Demander le programme" revenait à être outrecuidant dans le meilleur des cas ou même atteint d'une angoisse existentielle gravissime. Prenant une option sur la droite d'un tumulus pour rejoindre 8 bells par exemple, j'ai été sommé sans ménagement de remonter la colline pour prendre à gauche…les 2 options étaient bonnes. La mienne était assurément la meilleure car elle évitait des vaguelettes sournoises sur le versant. L'impression ressentie était que le chef vivait sa vie devant, tranquillement…il faisait son job…techniquement et tactiquement sans reproche; suivez le guide et circulez. Nous avions bénéficié de quelques points GPS dans le désert blanc, octroyés pour des raisons circonstancielles. Les autres semblaient s'accommoder de la chose mieux que moi. Tous étaient d'excellents pilotes très bien équipés avec une énorme expérience. La maîtrise du GPS semblait en revanche aléatoire chez la plupart. Personne n'avait, me semble t- il, effectué un voyage vraiment solo dans le désert. Lors du débriefing sur le bateau, les problèmes de timing ont été évoqués par tous, de même l'absence d'informations et de points GPS ne serait ce que de sécurité. Nous sommes presque tous restés en contact et donc nous poursuivrons l'analyse. Je dois reconnaître avoir fait mes premières armes "en groupe" en Libye avec Eric Milet (chameau vert à l'époque); sont but déclaré était de faire de nous de "vrais sahariens"; cela signifiait que nous recevions un enseignement, des conseils pour que nous puissions un jour, Inch Allah, voler de nos propres ailes. Nous avions des points GPS, je roulais seul, les autres à 2 ou 3 voitures, je choisissais ma route différente de celle des autres également autonomes, parfois pour le meilleur ou pour le pire; Ce faisant nous apprenions à ne pas nous mettre dans des situations impossibles, à repérer le mauvais coin. Le point de ralliement du midi et du soir prenait toute sa valeur. Bien entendu, lorsque nous attaquions les sifs ou que l'endroit était délicat, nous nous regroupions. Je ne voudrais pas être trop négatif sur l'organisateur qui possède des vraies qualités, une très bonne approche du terrain et qui n'a pas hésité, après notre altercation, à enfiler la combinaison pour faire régurgiter l'eau dans le gasoil avalée par le Patrol…pas une mince affaire !!! Il tombait à pic, ce problème, c'était vraiment le bon moment! Le circuit qu'il a préparé est vraiment de toute beauté Je ne dis pas "il a tort"…mais " je ne suis pas fait pour jouer les " promène couillons".
gipsy-nomade Posté(e) : 5 décembre 2008 Posté(e) : 5 décembre 2008 Bonjour. La lecture de ton périple en Egypte a de très nombreuses similitudes avec un voyage effectué cet été en Asie avec une autre organisation. Ces organisateurs ont de grandes compétences pour reconnaître des parcours, trouver de belles et nouvelles pistes, proposer des parcours originaux,.... mais n'ont aucune qualité pour accompagner un groupe ne sachant pas adapter ce qu'ils font seuls. A+ http://picasaweb.google.fr/jeanbess2000
Voyageur56 Posté(e) : 18 décembre 2008 Posté(e) : 18 décembre 2008 Salut, J'ai lu qu'on a pas le droit d'entrer en egypte avec un ordinateur. Comment à tu fait?
domayeux Posté(e) : 17 janvier 2009 Posté(e) : 17 janvier 2009 Salut, J'ai lu qu'on a pas le droit d'entrer en egypte avec un ordinateur. Comment à tu fait? pas croire tout ce qui est écrit .... depuis des années je rentre et sors d'Égypte avec mon ordi - avant je le faisais porter sur mon passeport en entrant, et annuler en ressortant - depuis 2 ou 3 ans, ils s'en foutent complètement à la frontière les gabelous et je leur dis, que j'ai mon ordi ... plus aucune réaction
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