Aller au contenu

papikawa

Petit baroud
  • Messages

    1 675
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par papikawa

  1. :2 (24):
  2. tiens, un coin que je connais bien, ma frangine avait une petite maison de campagne là bas.......................
  3. Communiqué du Général Antoine MARTINEZ Le 09.02.2016 Devant l'invasion migratoire planifiée que subit l'Europe depuis le « printemps arabe », devenue massive depuis plusieurs mois, des citoyens européens commencent à réagir et à s'opposer aux tenants de l'idéologie multiculturaliste que de nombreux dirigeants veulent imposer aux peuples européens. Cette réaction traduit la prise de conscience des européens patriotes de toutes tendances, attachés à leur civilisation, à leur culture façonnée par le christianisme, à leurs traditions et modes de vie, du danger qui menace l'Europe face à cette intrusion incontrôlée et massive sur nos territoires de populations dont la majorité ne peut pas être considérée comme réfugiée et doit être renvoyée car motivée par des raisons économiques. Par ailleurs, la majorité de ces migrants est composée d'hommes jeunes dont certains infiltrés par l’État islamique, les attentats de Paris du 13 novembre le démontrent clairement. Enfin, à quelques rares exceptions, ces populations sont de culture modelée par l'islam dont on voit bien qu'il est d'essence violent et donc incompatible avec nos démocraties. Alors, ces patriotes européens ont voulu se manifester le 6 février sur l'ensemble du territoire européen et, pour la France, quatre manifestations étaient programmées à Saint-Brieuc, Calais, Bordeaux et Montpellier. Un meeting au cours duquel je suis intervenu était organisé à Rungis, près de Paris, le 7 février. A Calais, cette manifestation était interdite par le ministre de l'Intérieur pour des raisons fallacieuses et de simple impuissance devant des événements qui dépassent totalement le gouvernement incapable de faire régner la légalité sur notre territoire. Le général PIQUEMAL le savait. Il a toutefois considéré que l'intérêt supérieur des peuples européens, et particulièrement du peuple français et de cette France charnelle qui nous unit, lui commandait de braver cette interdiction. Je salue son courage et appelle les Français à lui manifester maintenant leur soutien et leur solidarité. L'arrestation de ce serviteur de l’État et de la Nation, comme le sont tous ceux qui servent ou qui ont servi sous l'uniforme, constitue une manœuvre d'intimidation d'un gouvernement aux abois qui tente de bâillonner la liberté d'expression de patriotes qui ont une vision de la France et de la Nation française dont ceux qui nous gouvernent sont incapables, leur seule préoccupation étant de gagner des élections. De plus, ils n'ont pas conscience que leur réaction irréfléchie favorise la radicalisation des esprits. Cette manœuvre d'intimidation s'inscrit dans une démarche totalitaire que le Chef d’État-major des Armées a pu lui-même relever lors de sa dernière audition au Sénat lorsqu'un sénateur lui a demandé de faire taire certains militaires en retraite. Il en est de même lorsqu'on reçoit d'un autre élu du peuple un message assassin qui se termine par « avec le regret que la France ait pu vous compter parmi ses généraux » Il faut qu'ils sachent qu'un général n'est jamais en retraite, même s'il n'est plus en activité, car il continue de servir la France d'une autre façon, même s'il est évident qu'il prend parfois des risques. Mais comme l'a dit le poète « un général ne se rend jamais, même à l'évidence ». Seule compte la France. Nous sommes les sentinelles et les gardiens de la mémoire et de l'histoire de la Nation que nous avons le devoir de défendre et de transmettre. Et si nos camarades d'active sont soumis au devoir de réserve, et c'est bien compréhensible, ceux qui ne le sont plus ont un devoir d'expression, comme tout citoyen, et même plus en raison de leurs expériences diverses au service de la France et de son peuple. Alors, face à ces provocations grossières d'un gouvernement nerveux et contesté, seulement capable d'intimider les vrais patriotes, mais incapable, par manque de courage politique, de faire appliquer la loi sur l'ensemble du territoire, il nous faut rester calmes. Mais nous devons également être déterminés et résister pour redonner leur fierté aux Français au lieu de les maintenir dans la haine de soi injustifiée afin de leur rendre l'espoir pour redresser cette France que nous aimons tous. Nos gouvernants qui confondent la France avec la République la guident vers le chaos. Ils ont oublié que l'essence du politique c'est d'assurer la sécurité à l'extérieur et la concorde à l'intérieur. Ils devraient savoir qu'ils ne sont que les fondés de pouvoir d'un souverain qui s'appelle le peuple. Et en démocratie le peuple est souverain. Alors, qu'on lui donne la parole. Ensemble pour notre patrie charnelle. Vive la France éternelle. Général Antoine MARTINEZ
  4. A mon avis, les rafales qui ont été tirées par les forces d'intervention dans cet assaut n'avaient pas pour but de les neutraliser dans un premier temps, mais de les fixer pour éviter qu'ils ne sortent de l'espace où ils se trouvaient, conscients qu'ils étaient équipés d'explosifs qui auraient posé problème à l'extérieur. Il me paraît donc stérile de lancer une polémique qui n'a pas lieu d'être lorsque ces assauts sont montés et exécutés par des unités d'élite habituées à gérer des crises comme celle là. une seule erreur a été commise semble- t'il, les charges insuffisantes sur une porte d'accès qui n'a pas cédé tout de suite et qui a fait que la riposte a pu être déclenchée . Quoi qu'il en soit, Force est restée à la loi dans des conditions de feu appropriées à la situation.
  5. Nous voilà dans le difficile débat sur la réforme de l'orthographe , il risque de faire couler beaucoup d'encre là où il ne devrait pas. Nous sommes tous unanimes pour convenir que la langue Française comporte des non sens dont je ne connais pas l'origine mais qui me semblent venir d'écarts qui n'ont pas été corrigés à temps et dont les déformations ont valu pour acquis une fois pour toutes. Sans toutefois en arriver à une forme écrite qui se rapprocherait de ce que nos chères têtes blondes ou brunes (attention aux abrutis qui croiraient tout de suite que je vante les croisements aboutissant à la race arienne) ont tendance à vouloir appliquer pour se faire comprendre entre eux , il serait bon effectivement, de revoir certaine règles, notamment dans des déclinaisons de mots qui , malgré qu'on en comprenne la signification, s'écrivent tantôt avec une consonne, tantôt avec deux, sans qu'on sache pourquoi et qui ne changent rien à sa compréhension. Par contre, il me semble que les accents tels qu'ils sont appliqués aux voyelles implique une prononciation qui n'est décelable que si justement ils existent à la bonne place et qu'ils peuvent changer le sens d'une phrase, surtout lorsqu'on en oublie la ponctuation comme c'est souvent le cas. D'autre part, une simplification pourrait également s'appliquer au vocabulaire dont la signification dans leur écriture n'engage à aucune erreur dans l'interprétation notamment dans les homonymes . Alors, ne critiquons pas ceux qui veulent simplifier cette belle écriture de la langue Française car nous sommes les premiers à commettre des erreurs , à faire des fautes d'orthographe car le temps où nous avons appris à composer à quelque niveau que ce soit est bien loin et contrairement au vélo, ça ne revient pas forcément comme un réflexe.
  6. réparation faite, il manquait les deux cales, je ne sais pas à quoi ça sert, je suppose que ce sont les cales de roulement.
  7. Vu un trol Y 61 de couleur gris bleu immatriculé en 25 hier à la concession NINI de Lanester (56).
  8. Oui, moi aussi mais il ne semble pas bon de le préciser au risque de passer pour un tueur à l'entraînement comme on l'entend dire des tireurs.
  9. nous avons coutume de dire, dans l'armée, que pour tuer un homme, en moyenne, il faut son poids en balles. Le ratio munitions/poids des terroristes semble avoir été respecté.
  10. La laïcité n'a jamais autant fait parler d'elle que depuis que l'Islam a pris une part prépondérante dans les débats souvent stériles et la stigmatisation qu'on a fait de tous ceux dont c'est la religion, religion pourtant part entière de notre société et ce depuis très longtemps. Les fêtes religieuses de quelque religion qu'elles soient ont toujours rassemblé et personne ne se serait permis de critiquer la façon dont elles s'exercent si ce n'est quelques coutumes qui nous semblent barbares et parfois à la limite de la loi mais bon, c'est ainsi. Cependant, en France du moins, le côté religieux a fait place à la coutume, la tradition, les habitudes et c'est justement parce qu'elles sont profondément ancrées dans notre histoire qu'il nous faut les défendre, sans parler de ce qui fâche : la France profonde, les racines , sans parler du patriotisme qui fait bondir de rage les créateurs du phénomène anti-Français , aidés dans leur quête de justice vengeresse par notre Président "toumou 1er" qui a passé son temps à démolir la France et les Français en les habillant du beau costume de raciste colonialiste chasseur de bougnoules qui ont puisé leur histoire dans l'esclavagisme et dans le pillage des ressources des comptoirs et des colonies sans parler de tout le positif laissé sur place....bref..... Il paraît évident que les gens qui arrivent sur notre sol qu'ils soient musulmans ou chrétiens ont le droit de continuer à exercer leur culte dans des structures déjà existantes, mais ils n'ont pas celui de nous imposer ou de nous faire subir des traditions en lien avec leur religion musulmane dans ce qu'elle a de plus méprisant notamment pour les femmes dont le statut est loin de représenter les femmes Européennes et surtout d'appliquer le peu de considération qu'ils leur concèdent, à celles qui vivent chez nous. La Laïcité doit donc nous permettre aussi, de lutter contre ce que nous considérons comme des abus découlant d'une religion notamment quand il s'agit d'avilir celles pour lesquelles nous combattons les inégalités et les violences dont elles sont victimes, les incident et les infractions commises en Allemagne dernièrement doivent aussi nous alerter sur ce qui pourrait faire sauter la marmite sous laquelle le bouillon est déjà bien en ébullition.
  11. avant droit, je m'en suis aperçu car je passe mon temps à vérifier dessous....... il semble qu'ils changent pas mal de choses dont le roulement
  12. moi ça tombe bien, j'avais rendez vous pour un changement de joint spy de demi arbre de roue (526 euros)........
  13. La mienne a fait le Maroc en 2012, je l'ai achetée , refaite entièrement (2000 euros de pièces) puis transformée, je me donne encore deux ans pour la finir comme je la veux et j'envisage le "baby boomer" pour retourner au Maroc en Rallye raid sympa.
  14. Calais, beaucoup de choses cachées, une information tronquée, des gens excédés pour qui la vie est devenue impossible , et si l'affaire dérapait, une guerre civile dans le nord?? Je vous livre tel quel le compte rendu d'un CRS engagé dans le combat journalier, à vous de vous en faire une idée. Ce reportage "journal d'un CRS" que vous ne verrez nulle part ailleurs car interdit ! PAROLES DE FLIC Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de « La Jungle » à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous. CRS : « Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas/jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’il aient tous, je dis bien TOUS, des Smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant) les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé… » La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las. En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les Pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les « cônes de Lübeck », ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque ! Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas ! Les réparations elles aussi coûtent une fortune. Levés à 04:30 du matin, nous arrivons à l’heure du repas. 13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner. 15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin… Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] « 2 poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules ». Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappelé également que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo ! Anarchistes des groupes NO BORDER Les « NO BORDER » [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidéos pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs. Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des blagounettes sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit… Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? » – « Moi » répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement… Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts à être utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ». 00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir, sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre La semaine avant notre arrivée, « Les Calaisiens en Colère » ont apporté une aide considérable aux collègues présents. Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer. N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des Forces de l’Ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place. Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation. 01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche. 02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus. 02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible. 02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres. Pareil à des gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer. Déchaînement de violence La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer. À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre. Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus. Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH ! M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?) David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus loin, un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face. Il faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral. La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp. L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum ! Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste. La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous. Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencé à grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant. 06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!) La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison. J’en passe… C’est trop long. Je suis fatigué. [1] Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre. [2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999. [3] Véhicules-Recueil. [4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron). [5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg. (6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).
  15. C'est peut être la raison pour laquelle malgré le froid à Calais, certaines ont quand même une chaleur humaine vers laquelle se tournent les migrants en manque d'affection . L'homme est connu pour se rapprocher des foyers par temps froid, là où la braise réchauffe le coeur et le reste.
  16. oui, voilà de quoi il était équipé quand je l'ai trouvé: - Suspension spécifique (rehausse +10cm. : ressorts AV +5cm type 'Heavy', ressorts AR +5cm type '1/2 charge' et 4 cales +5cm) couplée avec des cônes 'anti-déboitement' et associée à 4 amortisseurs Koni. - Ligne d'échappement inox + sortie latérale dans aile ARG. - Schnorkel. - Pare-chocs Tubulaires AV/AR (avec LP + manilles tournantes AV). - Treuil 4Tonnes avec corde Plasma (moteur débrayable et télécommande à fil) + coupe-circuit indépendant. - Tirants de pont AV renforcés + Coquilles de pont (AV et AR). - Durits de frein blindées. - Ski de protection moteur, Blindage réservoir, Protections latérales et plaques d'alu strié. - Pneus MUD 235x85x16 montés sur Jantes Modular combinées à 4 Elargisseurs de voie +3cm (inox). - Passages de roue découpés avec Elargisseurs d'aile +5cm. A moi de faire le reste...........un boitier de direction que je crois être un" 4 vis. "
  17. Voilà donc la bête en question, il s'agit d'un modèle de 1987, entièrement équipé pour la piste, blindages complets avant , milieu, arrière, treuil T max 4,7 tonnes, j'ai mis la photo du boitier de direction à changer ou à réparer (si quelqu'un connait une société dans mon coin qui les répare, j'achèterai une pochette de joins en kit de réparation) , je pense qu'il s'agit d'un "4 vis" compte tenu de ce que je vois .je lui ai greffé un attelage à l'arrière qu'il faut que je renforce pour plus de sécurité. Je mettrai dans un autre post les travaux qui ont été réalisés dessus.
  18. ça va venir, dès que la flotte se calme.....................
  19. Un rappel à la loi, une saisie des briquets qu'il faudra restituer au risque de se prendre une plainte aux fesses, rien de plus.....................
  20. Cocktail dont on connaît depuis longtemps les effets: "prenez un grand verre, placez y des immigrés sur le sol national depuis des mois, d'une civilisation complètement différente de préférence dans laquelle la femme est considérée comme un objet du désir ou objet tout court, placez y des femmes libres d'un état Européen, là aussi de préférence très peu couvertes par rapport à ce qu'ils ont l'habitude de voir, secouez le tout et buvez sans laisser reposer"................Vous m'en direz des nouvelles.........
  21. tu prends la route puis tu continues........................:mdr9::mdr9: - - - - - - - - - - Mise à Jour du Message - - - - - - - - - - on ne me dérange jamais, je suis en retraite depuis 8 ans, c'est ça de ne pas travailler longtemps....................:vieux-smiley::vieux-smiley: mais faut commencer tôt..........
  22. suffit de passer le voir, tu n'es pas loin....................
  23. bon, quatre jours de boulot, des kilos de terre enlevés par des lavages successifs à la haute pression (15 ans de tout terrain ça laisse quelques traces) , séchage deux jours, puis rustol en un litre par pulvérisation, on verra ensuite pour 1 litre de WD 40 .
  24. Les journaleux ont trouvé la raison de l'acte d'un homme qui a foncé sur les militaires à Valence: c'est parce qu'il était au chômage depuis des mois. Le fait que des propagandes djihadistes aient été trouvées sur son ordi n'a rien à voir avec son acte. Ouf!!!!! on a eu peur. D'ici qu'on nous annonce que les attentats du 13 novembre sont dus à des retards de versement du RSA aux intéressés en Syrie puisque Français, ............................sacrées prestations sociales, finalement, ça ne fait faire que des conneries, il vaut mieux les supprimer.............:mdr9::mdr9:
  25. merci Pierre....................
×
×
  • Créer...

Information importante

Ce site web utilise les cookies pour améliorer votre expérience de navigation.