En même temps, le doute est salvateur. Le doute ouvre une voie. Souviens toi de Stanley: "Dr Livingstone i purpose?" (source Gotlieb, la Rubrique à Brac). Il purposait juste, le bougre! Mais il ne le savait pas, en fait il doutait, car il n'était sûr de son coup qu' à 99%. C'est vrai, imagine que c'eut été Pavarotti sortant du couvert de la jungle tropicale, il aurait dit "no, i'm Pavarotti". Et là, Stanley aurait dit "Excuse me" et l'affaire était bachée, il n'avait même pas l'air d'un clampin.
Oui, le doute peut sauver. Imagine Pavarotti sortant de la jungle avec son navarra: "do you want to échange nos brouettes, i purpose?". Et là, Stanley dans son patol: "va fanc......!" Puis d'ajouter "I purpose!".
Bingo, la Pavarotti qui rigole, il se dit qu' il trouvera peut etre un gars qui voudra bien échanger un troll fiable contre son moulin jouant du biniou avec ses soupapes. C'est comme ça que Livingstone c'est fait fancouler, d'abors parce qu' il parlait pas italien, mais aussi parce qu' il avait oublié de purposer.
C'est un super copain, je le salue chaque fois que je vais dans un magasin de bricolage
Je n'ai pas une culture philosophique trés approfondie par contre j'imagine bien Pavarotti sortant de la jungle en navara tout en entonnant rigoletto par la fenêtre pour éloigner les animaux sauvages et les traumatisés du classique (comme moi)
Donc dans le doute, abstient toi mais l'abstinence est elle une bonne chose