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kriyo

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Tout ce qui a été posté par kriyo

  1. SUZUKI JIMNY 2018 Il n'y a qu'à demander Guislain @Ghislain36 Après plusieurs fuites, le nouveau Suzuki Jimny se montre enfin de manière officielle, à travers plusieurs images, montrant ses formes modernisées. Sous son capot, un seul moteur sera disponible en Europe, un 1,5 litre essence de 100 chevaux. On ne peut pas vraiment dire que le secret autour de la révélation du nouveau Suzuki Jimny eut été bien gardé. Et pour cause, ce n’est qu’après plusieurs fuites que le petit baroudeur nippon se dévoile enfin officiellement, tout du mois de manière partielle avant sa présentation définitive en juillet prochain. Après 20 ans au catalogue, le Suzuki Jimny troisième du nom laisse place à une nouvelle génération commercialisée ce 5 juillet 2018 au Japon. Le constructeur dévoile à cette occasion les caractéristiques de son nouveau petit baroudeur, qui reste fidèle au concept original Extérieurement, les évolutions sont assez nombreuses, avec un design globalement plus carré, évoquant çà et là le Mercedes Classe G. Il est légèrement plus court que son prédécesseur avec 3,48m de long hors roue de secours accrochée au coffre, ou 3,65m avec. Il est en revanche un peu plus large et plus haut avec respectivement 1,65m et 1,73m. L'empattement est toujours de 2,25m. Le tout-terrain trois-portes dispose de quatre places et d'un coffre allant de 85L à 377L. Il pèse 1.090kg à vide et repose sur des jantes de 15 pouces. Le nouveau Jimny affiche un angle d'attaque de 37°, un angle de crête de 28° et un angle de fuite de 49° grâce à ses porte-à-faux courts et sa garde au sol de 21cm au centre. Il repose sur un châssis-échelle et dispose d'une suspension à trois bras avec essieu rigide à l'avant comme à l'arrière. Le petit SUV est sans surprise livré de série avec la transmission intégrale Allgrip. Il se dote par ailleurs de plusieurs systèmes d’aide au franchissement, dont le Hill Hold Control, ainsi que le Hill Descent Control, permettant de monter et descendre des côtes sans effort de la part du conducteur. Sous son capot, le nouveau Suzuki Jimny embarque un bloc quatre-cylindres essence 1,5L atmosphérique développant 102ch à 6.000 trs/mn et 130Nm de couple à 4.000 trs/mn., associé à une boîte manuelle à cinq rapports de série, ou automatique à quatre vitesses en option. Il est couplé à une transmission intégrale débrayable, faisant alors du Jimny une propulsion, et un boîtier de transfert permet de raccourcir les rapports de boîte. Suzuki a doté ce Jimny d'un système de gestion du couple agissant sur les freins simulant un blocage de différentiel. La firme nippone annonce une vitesse de pointe toujours modeste de 145 km/h. Coté taxe carbone Pas de modèle à hybridation légère ou de 2 roues motrices au programme. Suzuki n'a donc pas dénaturé le Jimny, il reste un vrai baroudeur, tendance rustique ! Et cela se sent en matière de bilan écolo, avec des consommations en cycle mixte comprises entre 6,8 et 7,5 l/100 km et des rejets de CO2 de 154 et 170 g/km en fonction de la boîte de vitesses, selon le cycle de mesure NEDC, ce qui entraînerait des malus de 2.940 et 6 300 €. Pire, avec le nouveau cycle plus sévère WLTP, c'est 178 et 198 g. Côté design, le nouveau Jimny reprend des attributs des trois générations qui l'ont précédé parmi lesquels un look anguleux, des feux avant ronds, une calandre à lamelles verticales, un capot presque horizontal ou encore des feux arrière combinés dans le bouclier. Un intérieur modernisé Alors que l’extérieur change de manière notable par rapport à la précédente génération, l’intérieur évolue également beaucoup. Si l’ensemble reste évidemment très rustique, véritable marque de fabrique de ce Suzuki Jimny, il se modernise néanmoins, avec l’arrivée d’un nouvel écran tactile flottant de 7 pouces, surmontant la planche de bord, qui accueille un système d’infodivertissement modernisé. L'habitacle à la finition noire se veut avant tout fonctionnel selon le constructeur, et simple d'utilisation même avec des gants. D'après Suzuki, l'angle droit entre la planche de bord et la console centrale, surmontée d'un écran, aide le conducteur à déterminer l'inclinaison du véhicule. L’ensemble gagne en qualité perçue et opère un véritable coup de jeune, par rapport à une version précédente très vieillissante. Sans surprise, le Jimny quatrième du nom fait un bond en avant par rapport à celui qu'il remplace en termes d'équipement et de sécurité. Aide au démarrage en côte, contrôle de descente, freinage d'urgence autonome, six airbags, reconnaissance des panneaux, alerte de franchissement de ligne, aide au maintien dans la voie ou encore feux de route adaptatifs sont au catalogue. Le Jimny est produit au Japon, à Kosai. Sa date de lancement, ses spécifications et ses tarifs pour la France restent à connaître et pour ça, Il faudra patienter jusqu’à sa présentation officielle au prochain Mondial de Paris...
  2. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 6
  3. JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!! Yec'hed mat !!!!
  4. Pour les fans, dont je fais partie, des tas de vidéos du GOODWOOD FOS 2018 !!! - La partie 4x4 - Les résumés - Les premières mondiales - Les records - Les crashs - Les vidéos bonus LA PARTIE 4X4 : LES RÉSUMES : LES PREMIÈRES MONDIALES : LES CRASHS : LES RECORDS : LES VIDÉOS BONUS :
  5. NOUVEAU RECORD DU MONDE DE VITESSE DU 1 MILE / 2 ROUES !!!!
  6. SILK WAY RALLY 2018 VIDEO BONUS
  7. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 5
  8. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 4
  9. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 3
  10. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 2
  11. SILK WAY RALLY 2018 RESUME DAY 1
  12. JEEP GRAND CHEROKEE SRT Nouveau restylage pour le Jeep Grand Cherokee. Une mise à jour esthétique et technique qui profite également à la turbulente version SRT. Un 4×4 version dragster qui, avec son énorme V8 et sa gueule de yankee pourrait bien séduire les lassés de la rigueur germanique. Style extérieur On aurait pu imaginer que cet américain en ferait des tonnes pour suggérer ses velléités sportives. Et pourtant, ce SRT ferait presque dans la discrétion. Le très léger restylage est loin de bouleverser le look de ce gros bébé gavé aux hormones. Le bouclier largement ouvert, la calandre noire et affinée, les prises d’air sur le capot les jantes noires de 20 pouces et les deux grosses sorties d’échappement à l’arrière… Voilà les éléments qui vous permettront de reconnaître la version SRT. Et si cela ne vous suffit pas à reconnaître cette déclinaison, tendez l’oreille… Style intérieur et équipement A bord, le restylage n’aura pas non plus chamboulé le dessin de l’habitacle. Tout juste pouvons-nous noter la présence d’un nouveau levier de vitesse. Pour le reste, on retrouve l’agencement des Jeep Grand Cherokee classique, seul le logo SRT trônant fièrement au centre du volant est là pour vous rappeler la férocité de la bête. Dans l’ensemble le dessin de la planche de bord manque de modernité (l’actuelle génération du Grand Cherokee est sur le marché depuis 2011 tout de même) malgré les quelques améliorations portées par ce restylage présenté au dernier Mondial de Paris. La qualité de fabrication, très US, ne peut évidemment pas rivaliser avec les productions d’Outre-Rhin d’où sortent des 4×4 tirés à quatre épingles. Le Jeep Grand Cherokee SRT se rattrape avec un niveau d’équipement généreux comprenant notamment les sièges sport en cuir Nappa et daim, des jantes en alliage de 20 pouces, le toit ouvrant panoramique, la sono Harmann Kardon de 825 watts (!) et quelques aides technologiques comme le régulateur de vitesse adaptatif, l’aide au maintien en file, l’avertisseur d’angle mort, la caméra de recul ou l’assistance au stationnement. Châssis et motorisation Sous le capot de ce bodybuilder, on retrouve une pièce rare, même unique dans le segment : un énorme V8 cubant pas moins de 6,4l. Particularité maison, ce moteur présente des chambres de combustions hémisphérique (d’où son nom, HEMI) lui permettant d’y intégrer de plus grosses soupapes. Sans aucune assistance respiratoire, ce monument développe 468 ch. C’est plus ou moins la puissance développée par des rivaux plus affûtés comme le Porsche Cayenne GTS (440ch) ou pourquoi pas le Audi SQ7, malgré son V8 diesel de 435 ch. Au démarrage, le glouglou typique des big blocks américains est absent, il n’y a qu’en plein charge que la sonorité vous hérisse le poil. Et c’est malheureusement la plus grosse sensation qu’il vous procurera. Plutôt linéaire, la puissance déboule progressivement, quand des rivaux – allemands toujours – affichent des performances plus percutantes, il faut dire, c’est vrai, avec des moteurs souvent gavés par des turbos et autres compresseurs. Mais le Jeep Grand Cherokee SRT est loin d’être ridicule avec un 0 à 100 km/h bouclé juste en dessous de la barre des 5 secondes. Un mode Launch Control chronométrant vos performances vous permettra de vous exercer à cette épreuve. Sur la route Bonne surprise. Les origines de ce 4×4 supersonique et son poids de 2,4 tonnes auraient pu laisser augurer d’un comportement pataud et d’un châssis à la précision aléatoire. Mais bien aidé par des réglages spécifiques et une suspension pilotée, ce SRT ne crée aucune mauvaise surprise. Le comportement est sain à défaut d’afficher la légèreté et la vivacité d’un BMW X5M par exemple. Il est facile d’atteindre ses limites mais vous pourrez le mener à un bon rythme sans trop d’arrière-pensée. Au final son plus gros défaut sur la route, c’est sa direction, beaucoup trop démultipliée pour un voiture à vocation ‘‘sportive’’. Les plus pointus d’entre vous pourront entrer dans les pages spécifiques du système d’infotainment UConnect pour peaufiner indépendamment les réglages de la direction, de la boîte de vitesse ou des trains roulant. Tarifs et conclusion Affiché à partir de 84.700 euros, le Jeep Grand Cherokee abat sa carte maîtresse dans la bataille budgétaire. Ses rivaux ne peuvent s’aligner, s’affichant à minima 20 à 40 000 euros plus chers. Alors oui, un Mercedes GLE 63 AMG est plus puissant et plus luxueux, un BMW X5M affiche de meilleures dispositions sur la route et un Porsche Cayenne GTS mènent les débats en matière de sportivité. Mais le Jeep Grand Cherokee SRT s’adresse davantage à ceux qui veulent rouler différent, avec un 4×4 exotique doté d’un moteur gros comme ça et à la sonorité dantesque. Une carte d’identité qui le rend terriblement attachant malgré ses défauts. LES CHIFFRES
  13. JAGUAR E-PACE P300 Avec son E-Pace, Jaguar propose certainement l’un des plus beaux SUV du marché. Un modèle compact mais qui souffre d’un léger embonpoint. Cela ne l’empêche pas d’offrir de solides performances dans la version P300 essayée, ce qui se paye toutefois cher à l’heure de calculer le malus. Avec le F-Pace apparu en 2015, les équipes design de Jaguar avaient déjà signé un très beau SUV, parvenant à rendre un véhicule de cette catégorie directement reconnaissable en tant que Jaguar. Un travail consacré par le titre de plus belle voiture du monde en 2017 mais aussi par de belles ventes au sein de la gamme. Deux ans plus tard, Jaguar se relance dans la catégorie des SUV avec un modèle plus compact. Le Jaguar E-Pace présente un style plus musclé avec des hanches puissantes et des roues repoussées aux quatre coins. Bien que les catégories soient très différentes, l’inspiration du coupé F-Type est bien sensible, notamment avec les optiques arrière mais aussi avant. Et pour plus de dynamisme encore, l’E-Pace peut être chaussé de jantes de 21 pouces. Tous les goûts sont dans la nature mais en toute… subjectivité, il s’agit d’une belle réussite sur le plan stylistique et sans doute l’un des plus beaux SUV existants. Derrière ces attributs extérieurs et malgré une longueur limitée à 4,39 mètres, le Jaguar E-Pace parvient à ménager un bel espace pour ses occupants. Le coffre offre un généreux volume de 577 litres grâce à la compacité de la suspension arrière. Un volume facilement exploitable qui peut passer à 1.234 litres si l’on rabat la banquette 60/40. À l’arrière, l’espace aux jambes atteint 892 mm et deux voire trois passagers peuvent être accueillis confortablement. Ils profiteront d’une prise 12 volts ou, en option, de trois ports USB de 5V. Les connexions se montrent d’ailleurs généreuses avec au total cinq ports USB, quatre prises 12 volts et une borne wifi 4G permettant de connecter huit appareils. Une possibilité dont l’intérêt nous paraît limité, chacun ou presque disposant désormais d’un smartphone connecté. À l’avant, le Jaguar E-Pace offre deux sièges plutôt confortables même si on peut leur reprocher un soutien parfois gênant pour le haut du dos. Chauffants, ventilés et électriques sur notre modèle d’essai, ces sièges sont séparés par une console centrale pouvant accueillir quatre grandes bouteilles d’eau. De manière générale, les finitions sont soignées même si on déplore l’aspect visuel des plastiques entourant les boutons de la climatisation et l’écran du système d’info-divertissement. Appelé Touch Pro, ce système a recours à un écran de 10 pouces en série et affiche une interface déjà vue dans d’autres modèles des marques Jaguar Land Rover. Si elle se montre plutôt esthétique, on pestera en revanche contre quelques détails ergonomiques et certains ralentissements. Derrière le volant, on retrouve un deuxième écran de 12,3 pouces qui remplace les compteurs et permet d’afficher la carte en plein écran. En matière de sécurité, le Jaguar E-Pace fait le plein d’aides à la conduite. Une caméra stéréo est utilisée pour le freinage d’urgence avec détection des piétons ainsi que l’assistance au maintien de trajectoire, la reconnaissance des panneaux de signalisation, le limiteur de vitesse adaptatif et le détecteur de fatigue du conducteur. On peut aussi citer la présence d’un airbag pour les piétons, d’un système de surveillance des angles morts ou d’un très pratique système d’affichage tête haute. le Jaguar E-Pace a récolté les 5 étoiles lors de la séance de crashs-tests de l’Euro NCAP fin 2017. Un peu lourd le petit Jaguar Contrairement à son grand frère, le Jaguar E-Pace ne repose pas sur une structure en aluminium (à 80%). Il emprunte la base technique du Range Rover Evoque et repose sur un châssis inédit qui s’appuie sur le concept de suspension arrière Integral Link compacte qui offre un débattement généreux. Utile pour les rares clients qui emmèneront le Jaguar E-Pace hors des sentiers battus. Mais ce qui concernera plus largement les utilisateurs, c’est le surpoids du Jaguar E-Pace qui se montre plus lourd que nombre de ses concurrents et même que son grand-frère ! Ainsi, quand le F-Pace au 2,0l essence affiche 1.770 kg sur la balance, le petit E-Pace fait grimper l’aiguille jusque 1.894 kg ! Une valeur qui concerne la version essayée équipée du 2,0l Ingenium essence de 300 chevaux associée à une transmission intégrale et à une boite automatique à neuf rapports mais comptez encore 120 kg de surpoids pour le diesel de 150 chevaux traction à boite manuelle. Dans le cas de notre modèle, ce poids élevé ne s’est pas traduit par un quelconque manque de performances. Bien aidé par son bloc de 300 chevaux et 400 Nm ainsi que par sa transmission à quatre roues motrices et sa boite rapide, le Jaguar E-Pace P300 peut abattre le 0 à 100 km/h en 6,4 secondes. Les reprises se montrent tout aussi promptes et permettent au SUV compact de se montrer plutôt dynamique. Il se veut agile grâce à son empattement assez court mais ne peut toutefois masquer son embonpoint en courbe. On apprécie la direction plutôt précise tandis que la suspension offre aussi un bon mix entre dynamisme et confort. Malgré ses bonnes dispositions, on reprochera au Jaguar E-Pace P300 la sonorité de son quatre-cylindres 2,0l qui manque clairement de raffinement. Budget Au moment d’aborder le chapitre budgétaire, l’embonpoint de l’E-Pace révèle toute son importance. Dans cette version P300, la consommation mix officielle est donnée pour 8,0l/100 km. Lors de notre essai, nous avons noté une consommation réelle proche des 11l sur parcours mix et de 7,5l aux vitesses légales sur autoroute. Attaquer pendant quelques kilomètres aura fait monter l’indicateur de l’ordinateur de bord jusqu’à 24l/100km La consommation officielle élevée expliquée par la puissance, le poids et la transmission intégrale se paye cash au moment de calculer le malus. Avec des émissions de CO2 de 181 g/km en cycle combiné, le malus grimpe ainsi à 9.353€ qui s’ajoute au montant de 53.750€, prix de la version d’accès de la P300. Un malus qui paraitra malheureusement rédhibitoire à certains clients potentiels. Heureusement, l’E-Pace diesel de 150 chevaux ne souffre d’un malus que de 90€ avec ses émissions de CO2 fixées à 124g/km Quant au tarif de notre version d’essai richement équipée, il atteint 76.911 €. LES CHIFFRES
  14. VOLKSWAGEN T-ROC 150CH 4MOTION Où se place ce fameux T-Roc ? En dessous du Tiguan et au-dessus du futur T-Cross. Et question look il va se différencier nettement du reste de la fratrie des modèles T, qui désigne désormais tous les SUV du constructeur. Direction le Cap Corse pour en prendre le volant. Un 4motion suffisant pour le tout chemin Entrons directement dans le vif du sujet en nous rendant au cœur du massif de la pointe nord de l’Ile de Beauté. C’est armé de la transmission 4X4 4Motion que nous nous attaquons à une piste défoncée, qui nous mène à chapelle Notre Dame Des Grâces. Et sur ce terrain cabossé, notre valeureux T-Roc s’en sort sans trop de difficulté. L’opération s’avère en plus simplifiée par la boite automatique et les programmes électroniques gérant la motricité et la distribution du couple entre les essieux. Toutefois, malgré des porte-à-faux courts, on garde on garde un œil sur le placement de nos roues, pour éviter d’abimer les parechocs et les soubassements, car il n’est pas non plus fait pour le franchissement. D’autant que l’essentiel des ventes se fera sur les versions à 2 roues motrices… Un style atypique dans la gamme Volkswagen Mais prenons le temps maintenant de nous arrêter pour faire le tour de notre camarade de jeu du jour. C’est sous la bienveillance des cieux corses que nous observons ce T-Roc, dans un coloris particulièrement démonstratif. Il arbore un style qui le démarque franchement du reste de la gamme Volkswagen par trop classique. L’avant reprend presque trait pour trait celui du concept qui annonçait son arrivée. Les feux de jours à LED en forme de flèches lui donne une personnalité bien à lui. Son profil plutôt ramassé pour un crossover, dynamise son style. En revanche à l’arrière, on se rapproche clairement du Tiguan, mais avec une vitre de coffre bien plus pentue. Une finition en retrait La présentation du T-Roc joue la carte de la couleur, à laquelle la marque ne nous a pas habitué. Les grandes zones de couleur, jaune ici, sont habillées d’un plastique satiné assez agréable au toucher. Et si les assemblages sont précis et semblent robustes, les plastiques employés ne sont pas tous du meilleur niveau. Durs, ils sonnent creux et leur aspect n’est pas aussi bien harmonisé entre planche et porte qu’il le devrait… Le T-Roc fait ainsi figure de mauvais élève sur le segment surtout à ce prix, et des C-HR ou HR-V, deux de ses concurrents les plus proches, font bien mieux. Couple moteur / boite efficace En repartant sur les routes tortueuses de cette belle partie de Haute-Corse, on profite de notre moteur 2 litres TDi de 150 chevaux, bien connu de la maison Volkswagen. Associée à la boite DSG 7, il facilitait la gestion de la puissance dans l’épreuve des chemins défoncés. Sur la route, on profite aussi du couple qui arrive avec douceur quand on ne le sollicite pas. Bonus, sans pour autant rager haut dans les tours, il permet des reprises énergiques dans toutes les phases de conduite. On le trouve juste un trop sonore quand on sonne la charge. En termes de comportement, il y a peu à dire, du moment qu’on ne le prend pas pour ce qu’il n’est pas, une sportive. Malgré la hauteur de caisse, le T-Roc limite le roulis et va peu tâter ses butées. On le trouvera surtout un peu raide sur les raccords de bitume et les bosses abordées à basse vitesse. Rien de rédhibitoire pour autant (quoique vu l’état de certaines routes…), mais les Français notamment gèrent bien mieux à ce niveau le compromis confort / dynamisme. Des prestations de Tiguan, pour moins cher À 35 380 €, oui notre T-Roc paraît plutôt cher. Toutefois il s’agit d’un joli coup pour Volkswagen qui propose une alternative à ceux qui trouvent le Tiguan trop onéreux. On peut ainsi profiter de prestations quasi similaires à celles du grand frère, si on n’a pas nécessairement besoin d’autant de place. Le tout en évitant l’explosion du portefeuille. De façon général, ce T-Roc reste néanmoins plus cher que des C-HR, HR-V ou même Qashqai, et se rapproche en fait plus de la référence 3008… LES CHIFFRES
  15. SKODA KODIAQ SCOUT 4X4 Peu de gens osent aventurer leurs SUV sur des chemins hostiles empruntés par des 4X4 de franchissement. Nous, nous avons amené un Skoda Kodiaq sur un terrain au premier regard bien trop rude pour lui… Avec les beaux jours, nous avons mis à l’épreuve une déclinaison 4X4 TSi de 150 chevaux au cœur du vignoble bourguignon et sur le terrain d’un club 4X4. On découvre ainsi le SUV tchèque sous un nouveau jour. On est plutôt bien installé dans ce grand véhicule, qui s’appréhende assez facilement avec une bonne position de conduite. Les premiers kilomètres de route nous permettent d’en apprécier paisiblement le bon confort, bercé par la musique de notre smartphone. Puis nous nous sommes rapprochés des coteaux, pour emprunter des chemins serpentant au milieu des vignes. Une garde au sol correcte pour les chemins Ces étroits et escarpés axes utilisés principalement par des engins agricoles, on ne peut pas vraiment les qualifier de « billard ». Sauf qu’au volant d’un Kodiaq, on avale les bosses et autres creux sans difficulté, là où avec une berline on passerait son temps à ralentir par peur de faire frotter les soubassements. Ici, la garde au sol fait surtout la différence. Avec ce temps sec, on ne note pas de problème de motricité, et ça nous paraît bien normal. En s’enfonçant dans la forêt, tout d’abord on avoue que sans notre guide, nous n’y serions pas allés. Là encore, la hauteur de notre Kodiaq suffit à se jouer des trous et autres flaques qui jonchent notre chemin. Un Octavia Scout qui faisait partie de notre petit convoi s’en sortait tout aussi bien. Même la transmission 4X4 intelligente dans ces conditions n’apportait pas un gain important. La forêt ne lui fait pas peur Évidemment on aurait peut-être un discours différent sur ces mêmes chemins un jour de pluie. A cet instant on culpabilisait juste d’avoir allégrement sali notre SUV tchèque, que nous avions récupéré tout propre au départ. Après cette petite balade forestière qui nous a permis de découvrir les paysages des vignes de Grand Crus, nous nous dirigions vers notre pause déjeuner, avant d’entamer le plus gros morceau de la journée. Rendez-vous était pris sur le terrain du Team 4X4 Bourgogne à Arcey près de Dijon. L’association dispose ici de pentes rocheuses très escarpées, mais aussi de trous d’obus pour mettre à l’épreuve les plus remarquables franchisseurs. Croyez-nous sur parole, même au volant d’un Classe G ou d’un Defender, vous n’oseriez pas vous aventurer ici sans inquiétude. Alors avec un Kodiaq… Nul besoin de modes spéciaux Franchement, on manquait de confiance avant de s’atteler à gravir tout ça. Pour nous guider, un instructeur à pieds nous devançait pour nous assister dans le placement idéal des roues. Mais pour le reste, la voiture et votre serviteur allaient devoir faire le travail. Avec des pneus pour la route et la transmission intégrale 4X4 automatique, la mission s’annonçait plutôt périlleuse, voire impossible. Point donc de modes « grimpe aux arbres » ou « Camel Trophy » pour nous assister. Non, ce ne fut pas une mince affaire, à cause du grip des gommes. Il faut ainsi oser mettre de l’accélération progressivement, dans un endroit on a peur de voir la voiture bondir dans un arbre, ou basculer en contre-bas. On augmente doucement le régime moteur, pour forcer le patinage sur la roue qui grippe le moins, et ainsi modifier la distribution du couple qui se transfert là où ça accroche le mieux. Finalement, grimper ne fut pas le plus difficile pour notre Kodiaq. On reste toutefois bouche bée, on ne s’imaginait pas réussir. Il lève la patte comme les vrais 4X4 Ensuite, il nous fallait affronter des trous d’obus pour le mettre dans des positions délicates, avec un croisement de ponts à la clé. Sur ce terrain sec fait d’herbe et de terre, là aussi il s’en sort, avec juste une gestion du frein ou de l’accélérateur. Pour rappel, nous ne disposions pas de modes sophistiqués. La garde au sol (194 mm) s’avère malheureusement assez pénalisante ici, ce qui expose les jolis boucliers. Toutefois, il n’hésite pas à lever allégrement la patte pour passer là où on a envie de mettre plutôt la marche arrière… ou de chercher une pelle pour aplanir le chemin. Cela au prix toutefois de quelques frottements dus aux angles d’attaque (20,1°) et de fuite (22,8°) qui ne favorisent pas les manœuvres. Malgré les quelques coups de griffes sur ses dessous, il a passé l’examen ! Bon sur route, étonnant en tout-terrain ! Logiquement, les meilleurs du genre nous auraient rendus l’atelier bien plus aisé. Néanmoins on découvre ici que le Skoda, un SUV de tous les jours, peut se révéler bien plus polyvalent qu’on ne le pense. Le compromis nous paraît même meilleur, car il couvre plus de situations, avec le reste du temps un confort sur route impérial. Ce qui n’est pas toujours le cas d’un 4X4 plus spécialisé. LES CHIFFRES
  16. ACTUALITÉ DU 26/07/18 80 km/h : le Conseil d’Etat ne suspend pas le décret Le juge des référés du Conseil d’Etat avait été saisi en procédure d’urgence pour surseoir au décret d’exécution du passage à 80 km/h. Il vient de refuser cette suspension en urgence. Mais cela ne préjuge en rien de la décision sur le fond. En effet, la décision du jour ne concerne pas le fond de l’affaire mais le caractère urgent de la demande. Les requérants réclament la suspension du décret ainsi que la communication de plusieurs documents. Selon eux, la décision a été motivée sur des documents ne pouvant la justifier. « Par les trois ordonnances du jour, le juge des référés du Conseil d’État rejette ces requêtes, estimant pour chacune d’entre elles, que la condition d’urgence n’était pas remplie ». La condition d’urgence des requérants était basée sur le fait que des automobilistes pourraient perdre des points avant la suspension. Un autre aspect était que les automobilistes roulant à 80 km/h allaient consommer (et donc dépenser) plus. Pas de décision sur le fond avant l’automne Concernant la communication des documents ayant conduit le gouvernement à prendre la décision du passage à 80 km/h, le juge du Conseil d’Etat considère « que les requérants n’établiss(ent) pas en quoi la communication des pièces en cause, à tout le moins celles qui ne faisaient pas déjà l’objet d’une diffusion publique, aurait été nécessaire à la sauvegarde de leurs droits. Par conséquent, il a estimé que la condition d’urgence n’était pas satisfaite ». Evidemment et comme déjà évoqué, le juge ne s’est prononcé ici que sur l’urgence estimée par les requérants pour la suspension du décret. Cela ne préjuge pas une décision sur le fond. Cette décision sera prise par le Conseil d’Etat qui examinera le décret, mais pas avant l’automne.
  17. ACTUALITÉ DU 26/07/18 Crit’Air : les contrôles automatisés arrivent à Paris Mise en place depuis janvier 2017, la vignette Crit’Air pourrait désormais bientôt faire l’objet de contrôles par caméra aux portes de Paris. La mesure devrait entrer en vigueur dans le courant de l’année prochaine. Symbole de la politique anti-voitures menée par Anne Hidalgo depuis plusieurs années, la vignette Crit’Air pourrait encore évoluer dans les prochains mois. En effet, s’il était encore rare de se faire contrôler en entrant dans Paris, il semblerait que cette époque soit désormais en passe d’être révolue, comme le relatent "Le Parisien". Dans une série d’engagements de l’État « en faveur de la mobilité propre et de la qualité de l’air », Nicolas Hulot et Elisabath Borne, respectivement ministres de la transition écologique et des transports ont annoncé une mesure qui fait déjà grincer des dents. Il s’agit en effet du contrôle par caméras de la fameuse vignette, et ce dès l’entrée de la capitale. Amende de 68 € en cas de contrôle Demandé par l’édile de Paris depuis plusieurs mois, ce dispositif devrait entrer en vigueur dans le courant de l’année prochaine, et sera par la suite étendu à toute la France dès 2020. Le système, qui remplacera les contrôles insuffisants permettra donc d’envoyer une contravention de 68 € à l’ensemble des véhicules n’ayant plus le droit de séjour dans la capitale entre 8h et 20h en semaine. Pour les autres villes concernées telles que Nice, Toulouse ou encore Strasbourg, ce sera également aux élus de choisir le périmètre concerné, ainsi que les catégories de véhicules et les horaires. Le ministre de la transition écologique ajoute par ailleurs qu’il « faudra faire beaucoup de pédagogie, afin que les citoyens comprennent que ces mesures ne sont pas faites pour compliquer leur quotidien, mais parce qu’il y a une urgence sanitaire ».
  18. Superbe Jeff, Tu veux que je privatise la piste de l'aéroport pour l'essai
  19. JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!! Yec'hed mat !!!!
  20. Santé Pierre !!!! et bravo !!!!
  21. BAJA ESPAGNE ARAGON 2018 (Voitures et Camions)
  22. PORSCHE CAYENNE COUPE 2019 Il aura fallu attendre la troisième génération de Porsche Cayenne pour que l’emblématique SUV se mue enfin en coupé. Voila près d’un an que la rumeur enflait, quant à l’arrivée d’un rival du BMW X6, chez Porsche. De récents clichés, émanant de paparazzi, confirment le développement de ce Cayenne à « profil bas ». Une rumeur qui se confirme Selon Autocar, lors du salon de Francfort 2017, un responsable de la firme de Zuffenhausen aurait lâché le morceau : Porsche envisagerait sérieusement une déclinaison coupé du Porsche Cayenne. Qu’on apprécie ou pas ce type de silhouette, Porsche afficherait cependant davantage de légitimité que ses concurrents, en raison de sa filiation avec la 911. Assumer sa filiation avec la 911 BMW fût le premier à oser cette chute de pavillon caractéristique sur un SUV, en dégainant son X6 dès 2007, suivi par le X4 en 2014. Mercedes patientera jusqu’en 2015 pour s’offrir les services du GLE Coupé, puis du GLC Coupé, plus récemment. Audi, de son côté, résiste encore à l’appel des sirènes… ou plutôt des cachalot, dixit les esprits chagrins. Même le récent Q8 se refuse à un costume aussi radical. Coupé… mais 5 portes Bien qu’on le jargon automobile le considérera comme un SUV coupé, cette future déclinaison de Porsche Cayenne reconduidra une architecture 5 portes. En effet, les crossovers 3 portes ne font pas recette, comme le prouvent les ventes anecdotiques du Range Rover Evoque, dans cette configuration. D’ailleurs, Land Rover n’offrira pas de descendance à la prochaine génération, attendue en 2019. Sous le capot du futur Porsche Cayenne Coupé, toutes les motorisations de l’actuel « break » seront les bienvenues, ainsi que les prochains blocs hybrides rechargeables. De même, il fera l’impasse sur les moteurs diesel, suite aux soupçons de tricherie aux émissions polluantes ayant affecté le précédente opus. Potentiellement révélé fin 2018 à Los Angeles, ou début 2019 à Détroit, il pourrait aussi attendre Genève, en mars prochain pour faire ses premiers pas, juste avant sa commercialisation. Son tarif de base devrait approcher les 80 000 €, selon notre estimation.
  23. sur !!! Yec'hed mat!!! Le règlement des forums, c'est là Le réglement des forums ! Pour t'aider à te servir des forums, c'est là Nos tutoriels de fonctionnement du forum en vidéo Pour te localiser sur la carte des membres et voir celles et ceux qui se situent près de chez toi : carte des membres Si tu le souhaites, Fais nous des photos de ton Troll et une belle petite présentation de celui ci, ici Galerie d'exposition des Trolls du site Pour t'inscrire à la newsletter et recevoir les dernières infos PGR (sortie, événements, actualité du site....), c'est ici inscription newsletter Notre page Facebook , c'est là Page Facebook Pour être à nos couleurs, vêtements, goodies......La boutique, c'est là La boutique PGR et le PGR STORE ONLINE Si tu souhaite que ton Troll n'ai plus aucun secret, le compte premium est fait pour toi...Accède à la bible PGR en souscrivant ici Compte Premium Si tu veux passer un super premier weekend d'août LES LANDES DE BREIZH 2018 Pour prendre soin de ton patrol, si tu as besoin de conseils ou de pièces, N'hésites pas a contacter notre partenaire Euro4x4parts Bonne navigation sur le forum !!!
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