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Tout ce qui a été posté par kriyo
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LINCOLN NAVIGATOR HENNESSEY Le dernier Lincoln Navigator est un luxueux SUV dont le succès commercial ne se dément pas, mais si vous voulez combiner le luxe et la puissance d’un Mercedes-AMG GLS 63, vous restez sur votre faim. Fort heureusement, Hennessey a décidé de vous combler et propose désormais une préparation de 600 ch qui transforme le Lincoln Navigator en un missile de trois tonnes. Le préparateur texan fait passer la puissance du V6 3,5 lires EcoBoost de 450 ch à 600 ch en installant un système de gestion moteur modifié, un nouveau système d’admission d’air à haut débit, un système d’échappement en acier inoxydable et un plus gros intercooler. Ainsi équipé, le Lincoln Navigator bondit de 0 à 100 km/h en 4,8 s, 0,2 s de plus que le GLS 63, et réalise le « quarter-mile » (400 m) en 12,9 s. Pour freiner le mastodonte, le Navigator reçoit des freins Brembo avec des étriers à six pistons et des disques de 380 mm. Le pachyderme reçoit également une suspension abaissée, perdant au passage son look de SUV, et des jantes forgées. « Le Navigator est un SUV de luxe de classe mondiale et nous voulions porter sa puissance et ses performances déjà impressionnantes au niveau supérieur », déclare John Hennessey, président de l’entreprise, dans le communiqué. « Au cours des 12 derniers mois, nous avons construit et livré des centaines de mises à niveau VelociRaptor 600 à nos clients propriétaires d’un Ford Raptor. Il était parfaitement logique d’offrir une mise à niveau similaire pour le nouveau Navigator, qui a le même moteur. » Ce kit performance coûte 19 950 dollars et inclue une garantie de 3 ans/100 000 km. Additionné aux 80 000-90 000 dollars exigés par un Lincoln Navigator, c’est encore une affaire comparée aux 125 300 dollars exigés par le Mercedes-AMG GLS 63. Hennessey prévoit de vendre 200 Navigator en 2018.
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 VOLKSWAGEN : Matthias Müller justifie son salaire par le risque d’être emprisonné Surprenante manière, vous en conviendrez, pour un patron de justifier son somptueux salaire : dans le cadre d’un entretien accordé au magazine allemand Der Spiegel, Matthias Müller, dirigeant de Volkswagen, a justifié vendredi son salaire annuel de 10 millions d’euros … par le risque qu’encourt « en permanence » de se voir mis derrière les barreaux. Des propos pouvant néanmoins laisser entendre qu’il pourrait s’agir du prix – qu’il aurait lui-même demandé – pour accepter de rester en poste, voire de servir de fusible ? Pas totalement irréaliste de le penser, ni de le croire. Cette rémunération représentant alors le prix à payer par Volkswagen pour que Matthias Müller accepte les deux encombrantes casquettes que sont, à l’heure actuelle, celle de patron de VW et celle de fusible dans le cadre du dossier du dieselgate. Car, si le groupe Volkswagen se porte bien sur le plan financier, il n’en demeure pas moins que diriger un tel constructeur en pleine tourmente du scandale des falsifications des données des émissions des moteurs diesel ne doit pas être chose aisée tous les jours. Matthias Müller justifie son salaire élevé « C’est un sujet qui suscite énormément d’émotions », s’est étonné Matthias Müller … après avoir tout de même touché la rondelette somme de 10 millions d’euros au titre de 2017, soit 40 % de plus que l’année passée, selon les données issues du rapport annuel de VW. Il est vrai qu’en parallèle, le groupe a renoué l’an dernier avec des profits records, faisant plus que doubler son bénéfice net, à 11,35 milliards d’euros. Selon le patron de Volkswagen, le salaire d’un dirigeant d’entreprise se détermine selon deux facteurs : l’importance de l’entreprise dans l’économie nationale et les responsabilités et risques reposant sur les épaules du dirigeant. « A ce titre, on a en permanence un pied en prison » estime Matthias Müller , ajoutant que cette charge qui pèse en continu « justifie » les salaires. Le patron de VW rappelant que sans le plafonnement récemment mis en place dans le groupe, il aurait dû toucher non pas 10 mais 14 millions d’euros en 2017. Pour un peu, il nous ferait pleurer … Reste effectivement, que le risque est bien réel. Deux cadres de Volkswagen purgent actuellement des peines de prison aux Etats-Unis, et que plusieurs autres sont inquiétés par la justice américaine. Müller s’étonne de l’émoi suscité par le niveau des salaires Matthias Müller a également ajouté ne pas comprendre l’émoi suscité en Allemagne par les rémunérations des chefs d’entreprises. Précisons, en effet, que le salaire perçu en 2017 par le dirigeant de Volkswagen a été connu du grand public vendredi via une étude publiée par le cabinet de conseil, HKP Group. Cette dernière a permis de mettre en avant le fait que Mathias Müller est au 5ème rang des patrons les mieux payés d’Allemagne en 2017. Figure en première place Bill McDermott, le patron de SAP, géant des logiciels informatiques (21 millions d’euros) suivi de Dieter Zetsche, le patron de Daimler dont la rémunération annuelle s’élève à « seulement » 13 millions d’euros.
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 Une marge opérationnelle record pour Porsche A l’occasion de sa conférence de presse annuelle, Porsche est revenue sur ses résultats. Lesquels s’avèrent nettement satisfaisants. Son résultat opérationnel s’est ainsi établi à 4,1 milliards d’euros, en hausse de 7%. Mieux encore, le constructeur a pu réaliser une marge opérationnelle record de 17,6 % (+0,4 points). Durant l’exercice 2017, Porsche a livré 246 375 véhicules neufs (un chiffre en hausse de 4 % par rapport à 2016), enregistrant parallèlement une hausse de 5% de son chiffre d’affaires, à 23,5 milliards d’euros. Les salariés de Porsche récompensés La très bonne situation financière du constructeur lui permet à nouveau de récompenser l’effort de ses salariés. Ayant réalisé la meilleure année de son l’histoire en 2017, Porsche en effet versé à ses employés un bonus de 9.300 euros brut pour – dit-il – récompenser « leur engagement extraordinaire ». Mieux encore, afin de célébrer les 70 ans de la sportive 356, la marque a également décidé de verser à ses salariés 356 euros brut. Au total, la rémunération ainsi perçue via des bonus avoisine donc les 10.000 euros. Certes, pas de quoi se payer une Porsche… Investissements majeurs dans l’électro-mobilité Ces très bons résultats vont permettre à Porsche de confirmer des investissements de plus de 6 milliards d’euros dans l’électro-mobilité d’ici à 2022. Information que nous évoquions ici début février. « Les différentes régions du monde évolueront de manière différente ses 10 prochaines années. Pour faire face à cette période de transition, nous entendons garder autant de souplesse que possible« , a tenu à souligner Oliver Blume, président du directoire de Porsche, lors de la présentation de ces résultats financiers. Ajoutant que Porsche allait de ce fait investir dans trois directions : « l’optimisation continue des moteurs thermiques, le développement de modèles hybrides rechargeables et de sportives entièrement électriques« . Lutz Meschke, directeur financier de Porsche, a quant à lui déclaré que Porsche comptait doubler les ressources allouées à ces domaines d’activité, porteurs d’avenir selon lui. D’ici 2022, plus de 6 milliards d’euros seront ainsi consacrés « au développement de modèles dérivés de la Mission E, à l’hybridation et à l’électrification de la gamme existante, au développement d’infrastructures de chargement ou encore à la mobilité intelligente« . Plus encore, Lutz Meschke a tenu à préciser Porsche s’attacherait également à ce que « les services numériques représentent à moyen terme un pourcentage à deux chiffres » de son chiffre d’affaires. En vue d’atteindre ces objectifs, le constructeur table tout d’abord, dès 2018,sur son premier modèle tout-électrique, la Mission E, pour dynamiser ses ventes.
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 Bras de fer PSA / Opel, production contre compétitivité Vives tensions entre Opel et PSA, sous fond d’inquiétudes concernant l’emploi. Le comité d’entreprise d’Opel a ainsi réclamé vendredi à PSA des propositions d’investissement constructives pour ses sites en Allemagne. Une demande expresse alors que PSA vient de dévoiler ces derniers jours son plan d’investissement et de production pour ses sites européens, dont l’Allemagne est exclue. Demande de propositions constructives « A la suite de la décision unilatérale de PSA d’investir dans des sites européens hors de l’Allemagne, il convient de présenter des propositions constructives pour les sites allemands sur la base d’accords salariaux collectifs « , ont ainsi déclaré vendredi des représentants du syndicat IG Metall d’Opel. Rappelant que PSA avait accepté de respecter les accords salariaux collectifs, ils estiment que ces derniers doivent désormais être appliqués de manière « inconditionnelle« . A l’origine de la discorde : les négociations sur l’application des accords conclus alors que Opel était encore filiale de General Motors. Lesquels traitent de la répartition de la production de véhicules et moteurs à Eisenach, Rüsselsheim ou Kaiserslautern, trois sites allemands. « Nous n’acceptons pas de conditions imposées ultérieurement pour des accords reconnus et repris par PSA, et qui sont exécutoires », écrit ainsi Wolfgang Schäfer-Klug, le chef du comité d’entreprise d’Opel. Un porte-parole de PSA a déclaré en retour samedi que le constructeur automobile ne commentait pas les négociations en cours. Un porte-parole d’Opel a quant à lui également indiqué que le constructeur ne faisait aucun commentaire sur les discussions actuelles, ajoutant qu’il n’existait aucun projet visant à renoncer aux accords salariaux collectifs. PSA dévoile son plan de production PSA a confirmé mercredi qu’il produirait son moteur essence trois cylindres turbo en Pologne, sur le site de Tychy, et en Hongrie, à Szentgotthard. Ces deux sites d’Opel viennent s’ajouter aux usines françaises de moteurs de Douvrin (Nord) et de Trémery (Moselle). Le constructeur a par ailleurs indiqué qu’il fabriquerait en France, à Valenciennes, des boîtes de vitesse automatiques sous licence Aisin, équipements achetés jusque là à l’équipementier japonais. PSA a également rappelé qu’il produirait à Trémery les moteurs électriques de ses futurs véhicules électriques et hybrides, dans le cadre d’une coentreprise avec Nidec Leroy-Somer. Les sites allemands exclus du plan européen A noter que l’ « exclusion » de l’Allemagne du plan défini pour les sites européens est due notamment au refus du syndicat IG Metall d’accepter les concessions que PSA demandait à Opel afin que sa nouvelle filiale devienne plus concurrentielle. Rappelons à cet égard que PSA a régulièrement critiqué les coûts de production de la marque allemande, les considérant trop élevés et en grande partie à l’origine de son résultat déficitaire. « L’objectif de la direction allemande reste clairement d’investir dans les sites allemands et d’introduire de nouveaux modèles. Une condition préalable pour y parvenir est de créer une structure compétitive », a indiqué le porte-parole d’Opel, laissant ainsi entrevoir que la bataille va se jouer sur les concessions demandées par PSA afin de rendre les sites allemands plus rentables. Maintien d’activités en Allemagne contre acceptation de nouvelles mesures permettant d’accroître la compétitivité. Si le patron de PSA, Carlos Tavares s’était engagé lors du rachat à respecter les accords conclus précédemment lorsque Opel était encore filiale de General Motors, il demande aujourd’hui à Opel – déficitaire depuis 1999 – de renforcer sa compétitivité … quitte à renégocier certains engagements. Pas d’exemption pour l’Allemagne, prône PSA Reste que bon gré mal gré, les salariés des pays autres que l’Allemagne ont tous accepté des mesures de modération salariale et davantage de souplesse au niveau des horaires. Pas question donc, pour l’état-major français de PSA de ne pas obtenir d’efforts des salariés allemands. Pas question non plus de semer la zizanie au sein du groupe en acceptant un simili traitement de faveur pour les employés d’outre Rhin. D’autant plus que IG Metall vient de signer un accord de branche accordant une hausse de salaire de 4,3 % en Allemagne. Autre sujet de tensions entre les parties. Certes, il existe des dérogations pour les entreprises en difficulté, mais qui demeurent limitées dans le temps. C’est dans ce cadre là que GM et Opel avaient obtenu du syndicat un report des hausses salariales contre des garanties sur l’emploi, jusque 2018, et sur les sites, jusque 2020. Selon Les Echos, IG Metall chercherait à faire prolonger ces assurances en contrepartie d’une nouvelle exception
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MERCEDES CLASSE X AMG une version suralimentée fait l’objet de tous les fantasmes. Le Mercedes Classe X AMG ne tardera pas à pointer le bout de son nez… Le premier Pick-up de la firme à l’étoile fait l’objet de tous les fantasmes. A commencer par une version AMG, à laquelle il ne devrait pas couper. Rappelons le, le nouveau Mercedes Classe X n’est autre qu’un Nissan Navara recarrossé, ce dernier ayant lui-même offert ses services à Renault pour les besoins de l’Alaskan. Ce qui est loin d’en faire un modèle exclusif, d’autant qu’il embarque uniquement, pour le moment, le 4-cylindres Renault-Nissan développant 163 et 190 ch, en s’associant à une boîte manuelle 6 vitesses ou automatique 7 rapports. Il faudra patienter jusqu’à mi-2018 pour profiter d’un V6 Diesel de 258 ch, à traction intégrale permanente. Mais gageons que, fidèle à sa réputation, Mercedes aura tôt fait de confier son nouvel engin aux mains expertes d’AMG. Tout comme le polo Lacoste s’est vu détourné de sa clientèle initiale, accaparé par toute une génération de « bad boys »‘, le pick-up allemand s’arrachera aussi bien dans les banlieues chics que sur les chantiers boueux. De même que les propriétaires acquis à la cause du Mercedes Classe G V12 AMG (jusqu’à 630 ch), seront rapidement demandeurs d’un traitement hormonal identique, administré au nouveau Classe X. Sans pour autant recourir à un 12 cylindres en V, le sorcier d’Affalterbach n’aura, sans nul doute, aucun mal à faire rentrer au chausse-pied le V8 Turbo 4.0 l qui équipe la gamme Mercedes, en mode 63 AMG. Ce sont près de 500 ch qui alimenteront alors le Mercedes Classe X, dès lors capable d’affronter les mythiques pick-up yankees vitaminés à la sauce « ‘Muscle car », parmi les Ford F-150 Raptor (450 ch) ou Dodge Ram (395 ch). Il faudra cependant patienter, au moins, jusqu’en 2019 pour voir apparaître ce futur Mercedes Classe X AMG, dont les tarifs s’envoleront probablement au delà des 100 000 € !
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MERCEDES CLASSE X EXY OFF-ROAD By PICK-UP DESIGN & CARLEX Le Mercedes Classe X est un pick-up qui n'a pas pour vocation de s'exhiber dans les salons automobiles. C'est un utilitaire, conçu pour transporter toute sorte de marchandise dans sa benne. Mais deux préparateurs ne voient pas les choses de la même façon, et offrent un très joli programme de personnalisation au pick-up à l'étoile. Pickup Design et Carlex se sont associés pour concevoir cette étrangeté. Le Mercedes-Benz Classe X vert porte le nom "EXY Off-Road", c'est un pick-up d'exploration avec ses arches de roues renforcées et ses roues venues d'une autre planète. Ce kit carrosserie est tout de même facturé à 14'000 euros, ce qui représente une belle petite somme. Ce kit embarque plusieurs éléments en fibre de carbone, que l'on peut voir sur la carrosserie ainsi qu'à l'intérieur. Le résultat est assez réussi, le Mercedes Classe X est prêt à affronter la jungle et à grimper des montagnes ! Concernant la seconde version "Urban" (photo ci dessous), il s'agit d'une version disons plus civilisée. Le pick-up est moins haut perché et il est beaucoup plus sage que le modèle précédemment cité. Il perd ses roues de tout-terrain et bénéficie de jantes d'un grand diamètre. Cette version est certes agressive, mais nous sommes loin du pédigrée de la version 'EXY Off-Road" qui pour le coup, est beaucoup plus extrême ! Cette préparation est limitée à seulement 999 exemplaires, mais malheureusement, le Mercedes Classe X ne sera animé que par un moteur diesel, dont la puissance de 190 ch n'a rien de bien transcendante (contrairement à son apparence). Vivement qu'un autre préparateur s'intéresse à la mécanique !
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CHAMPIONNAT PORTUGAIS TRIAL 4X4 2018 ÉPREUVE 1 : PROVA VALONGO
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BAJA 1000 (CALIFORNIE) Une vidéo de 30 minutes sur la BAJA 1000 !!! (Pas en français malheureusement...)
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ABU DHABI DÉSERT CHALLENGE 2018 RÉSUME ETAPE 1
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ABU DHABI DÉSERT CHALLENGE 2018 HIGHLIGHTS DAY #1 Shameer Variawa ecrase une GoPro avec son Nissan Navara! Luc Alphand et Toby Price prennent la tête de l'étape La compétition faisait rage sous le soleil brûlant du désert !!
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ABU DHABI DÉSERT CHALLENGE 2018 HIGHLIGHTS DE LA SUPER SPECIAL AU YAS MARINA CIRCUIT !!
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RALLYE AÏCHA DES GAZELLES 2018 La vidéo de l'étape 3
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RALLYE AÏCHA DES GAZELLES 2018 La vidéo de l'étape 2
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 Cartes grises : la passerelle informatique ne répond toujours pas Si en décembre 2017, les professionnels de l’automobile estimaient avoir enfin trouvé une issue au blocage administratif pour la délivrance des cartes grises – aussi appelées certificats d’immatriculation – tel ne semble pas être le cas. En effet, d’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, au 15 mars 2018, 50 000 cartes grises étaient toujours en attente de délivrance. L’espoir est néanmoins de mise. Afin de réduire le délai d’attente, le Ministère de l’Intérieur a décidé de créer trois nouveaux CERT (Centre d’expertise et de ressources des titres) et d’augmenter le nombre d’agents sur les autres plates-formes. Rappelons que, depuis l’automne 2017, les préfectures ont définitivement supprimé leurs services « cartes grises », qui assistaient professionnels et particuliers pour l’obtention des titres d’immatriculation. Désormais, les automobilistes sont renvoyés vers le site internet de l’Agence nationale des titres sécurisés (ANTS), chargée de gérer leur demande. Mais ils sont confrontés à un site complexe d’usage…et doté de nombreux bugs. Certaines associations pointent également du doigt l’impossibilité de trouver de l’aide par téléphone, ou auprès des « médiateurs numériques » censés être installés dans les préfectures. Un frein non négligeable aux ventes de véhicules Le problème est loin d’être anodin car il engendre des difficultés non négligeables pour les consommateurs – particuliers et entreprises – mais pourrait représenter un frein à l’achat de véhicules. Le CCFA indique ainsi que le phénomène – pour ne pas dire le dysfonctionnement administratif – pourrait en partie être à l’origine de la baisse des immatriculations de véhicules d’occasion. Lesquelles ont chuté de 4,6 % sur les deux premiers mois de 2018. Les professionnels de l’automobile ne parviennent pas, dans certains cas, à obtenir de certificat d’immatriculation pour leurs clients. C’est le cas notamment de ceux qui vendent des voitures importées de l’Union européenne, qui ont besoin d’une immatriculation provisoire. En décembre dernier, Nicolas Chartier, le directeur général d’Aramis Auto, spécialiste de la vente de véhicules d’occasion sur Internet indiquait ainsi avoir des centaines de voitures bloquées. D’autres opérations complexes sont également devenues très difficiles à réaliser pour les professionnels. Le Conseil national des professionnels de l’automobile (CNPA) indique en effet qu’ils ont souvent le plus grand mal pour redonner une carte grise à un véhicule accidenté mais réparé, ou, au contraire, faire les formalités de mise à la casse. « Le personnel de l’ANTS n’est ni suffisamment nombreux, ni suffisamment formé pour répondre aux questions des professionnels », affirme-t-il. Les auto-écoles, membres du CNPA, se plaignent de nombreuses difficultés pour remplir les dossiers de leurs candidats aux permis. Un secteur tout de même se voit bénéficiaire d’un tel cafouillage : la situation profite aux intermédiaires qui proposent aux particuliers de faire les démarches d’immatriculation à leur place. La société eplaque.fr, l’un de ces intermédiaires, expliquait ainsi fin décembre avoir deux à trois fois plus d’appels client. La petite entreprise d’une douzaine de salariés a dû augmenter de 50 % ses effectifs pour parvenir à répondre aux demandes d’information de ses clients.
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 Le Parlement européen pour libéraliser l’accès aux données des véhicules connectés Inquiétant voire liberticide ? Le Parlement européen s’est récemment prononcé en faveur d’un accès sans restriction aux données des véhicules et solutions de transport par des tiers de confiance. Comprenez : accorder notamment aux assurances l’accès aux informations des véhicules collectées via la connexion de ces mêmes véhicules à un réseau de données. Transformant ainsi le but premier des véhicules connectés : si au départ c’est l’automobiliste qui était censé bénéficier en priorité du flux de données entrant dans l’habitacle, en vue de lui offrir davantage de fonctionnalités d’aide à la conduite et de services, au final, le flux de données sortant du véhicule pourra également devenir un enjeu majeur, susceptible d’alimenter des bases de données de compagnie d’assurances, de services marketing notamment. Appel à légiférer en faveur d’une libéralisation des données Le 13 mars 2018, le dossier des transports intelligents, C-ITS (Cooperative Intelligent Transport Systems) était ainsi inscrit à l‘ordre du jour au Parlement européen. Au sortir de la session plénière, une résolution a été adoptée. Laquelle appelle les autorités européennes à légiférer en faveur d’une libéralisation des données. Un texte qui va dans le même sens que les recommandations émises par la Commission européenne en novembre 2016. Selon Bernard Splitz, président de la FFA (Fédération française de l’assurance), il s’agit d’un « geste politique fort ». Le Parlement européen, qui a souligné sa volonté de garantir une concurrence équitable et non discriminatoire, invite désormais la Commission européenne à publier, d’ici fin 2018, une proposition législative sur l’accès aux données et ressources embarquées des véhicules connectés. Dans le texte même de la résolution qu’ils ont adoptée, les parlementaires rappellent par ailleurs que les systèmes de C-ITS permettent à différentes stations STI (véhicules, équipements routiers, centres de contrôle de la circulation et dispositifs nomades) de communiquer et de partager des informations à l’aide d’une architecture de communication normalisée, et que l’interopérabilité des différents systèmes est dès lors indispensable. Un pas vers un monde à la Big Brother ? Pourra-t-on contrôler ce que l’on « partagera » comme données ? La Commission européenne devra également réfléchir à la façon de gérer la coexistence des véhicules coopératifs, connectés et automatisés, avec des véhicules et conducteurs non connectés. Les nouvelles mesures devront ainsi tenir compte du fait qu’un taux significatif de véhicules non intégrés par le système devrait perdurer durant une longue période. Contexte lié à la fois à l’ancienneté du parc de véhicules et le pourcentage résiduel de personnes non connectées. Il faudra également savoir si on pourra interdire explicitement l’accès aux données de nos voitures. La loi « informatique et liberté » l’assure, mais ne devrait-elle pas être revue avec l’arrivée de toutes ces nouvelles technologies connectées ?
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ACTUALITÉ DU 26/03/18 Waymo tacle Uber à propos de l’accident mortel Le patron de Waymo (Google), John Krafcik, indique que la technologie Waymo aurait pu éviter l’accident avec un véhicule autonome Uber. Ce sont des propos rapportés par la presse américaine. Krafcik intervenait lors d’une conférence de la NADA (National Automobile Dealers Association) à Las Vegas (Nevada). « Je veux être vraiment plein de respect pour Elaine, la femme qui a perdu la vie, et sa famille. (Mais) dans le cas d’un piéton ou d’un piéton avec un vélo, nous sommes certains que notre technologie serait fiable et serait capable de gérer une situation comme celle-là ». Pour autant, le patron de Waymo indique que sa société – et les autres acteurs de la conduite autonome – sont troublés par cet accident. En effet, Uber utilise les mêmes capteurs que ses concurrents. A savoir une caméra, mais aussi des radars et des lidars (*). Ainsi, cela permet aux véhicules de littéralement « voir » dans l’obscurité. Ce sont les appareillages que l’on place bien haut, sur le toit des véhicules. Ici, certains experts estiment que le LIDAR serait en cause, ajoutant qu’il faut attendre les détails de l’enquête. Toutefois, les différents acteurs se réunissent déjà pour voir si un tel accident pourrait se produire avec leur technologie respective. Du côté de Waymo, on met en avant les 8 millions de kilomètres de test sans accident de ce genre. Ainsi que les milliards de kilomètres faits en simulation. A priori, Waymo ne mettra pas en suspend son programme de test d’auto-partage autonome. Le LiDAR de UBER défaillant ? Le Lidar est au cœur de la détection pour la conduite autonome. En effet, il permet de détecter les « obstacles » de très loin. Chez Waymo, on affirme même que le « Long Range Lidar » (lidar longue distance) qu’ils ont développé durant des années permet de détecter un piéton bien plus loin que les concurrents, et même de « savoir dans quel sens il regarde ». On rappellera qu’une bataille en justice a récemment eu lieu entre Waymo et Uber justement. Google accuse Uber d’avoir acquis illégalement des secrets techniques sur ce lidar longue distance lors du rachat de la société de camions autonomes OTTO. Otto a été fondée par Anthony Levandowski, un ancien…de Waymo. L’affaire s’est soldée à l’amiable avec un échange d’actions Uber pour un montant (à l’époque) d’environ 245 millions de dollars. Certains mettent en avant l’empressement de Uber à faire rouler ses véhicules autonomes en environnement réel. Au contraire, d’autres estiment que le véhicule autonome – dans son ensemble – n’est pas prêt et doit retourner sur des environnements fermés. Chez Waymo, les tests en condition réels vont se poursuivre, sûrs qu’ils sont de leur technologie. La société a été autorisée en février à mener des tests à Phoenix (Arizona) sans « opérateur de secours ». (*) un radar utilise des ondes radio, un lidar des lasers
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Non, pas du tout Pierre, c'est exactement le même principe que le Rallye Aïcha des Gazelles (Navigation, pilotage et passages de chekpoints.)
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C'est fait, Même remarque que toi Pierre, plus une allusion à une récente expérience sur la rocade de Rennes (vitesse abaissée à 70 Km/h pendant 1 an puis abandonnée) qui a mis en valeur 3 conclusions : cela n'a pas résolu les problèmes d'embouteillage (bien au contraire ...), cela a créé plus d'accidents et enfin, cela a eu un impact écologique inverse à celui escompté ....
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sur !!! Yec'hed mat!!! Le règlement des forums, c'est là Le réglement des forums ! Pour t'aider à te servir des forums, c'est là Nos tutoriels de fonctionnement du forum en vidéo Pour te localiser sur la carte des membres et voir celles et ceux qui se situent près de chez toi : carte des membres Si tu le souhaites, Fais nous des photos de ton Troll et une belle petite présentation de celui ci, ici Galerie d'exposition des Trolls du site Pour t'inscrire à la newsletter et recevoir les dernières infos PGR (sortie, événements, actualité du site....), c'est ici inscription newsletter Notre page Facebook , c'est là Page Facebook Pour être à nos couleurs, vêtements, goodies......La boutique, c'est là La boutique PGR Si tu souhaite que ton Troll n'ai plus aucun secret, le compte premium est fait pour toi...Accède à la bible PGR en souscrivant ici Compte Premium SI TU VEUX PASSER UN SUPER WEEKEND DE LA PENTECÔTE, INSCRIS TOI A NOTRE RASSO NATIONAL ICI Pour prendre soin de ton patrol, si tu as besoin de conseils ou de pièces, N'hésites pas a contacter notre partenaire Euro4x4parts Bonne navigation sur le forum !!!
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Salut tout le monde et bonne semaine !!! Ici c'est un lundi au
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ACTUALITÉ DU 24/03/18 Nissan veut vendre 1 million de véhicules électrifiés par an d’ici 2022 On est pas prêt de revoir un PATROL !!! Nissan a annoncé son intention de vendre un million de voitures hybrides et électriques chaque année d’ici 2022 grâce au lancement de plusieurs modèles électriques et la généralisation de la technologie e-POWER. Dans le cadre du plan M.O.V.E., le directeur de la planification de Nissan, Philippe Klein, a annoncé que le constructeur prévoyait de lancer huit nouveaux modèles électriques d’ici 2022. Le constructeur compte notamment lancer un SUV sur la plateforme de la Leaf directement inspiré par le concept Nissan IMx et une « kei car » électrique dédiée au marché japonais. Nissan prévoit également de lancer une offensive en Chine dès cette année avec la présentation d’un SUV compact reprenant la technologie de la Nissan Leaf. Le constructeur prépare aussi un petit SUV plus abordable qui sera lancé dans le cadre de la coentreprise Alliance eGT New Energy Automotive. Enfin, deux autres modèles électriques seront lancés sous la marque Venucia, coentreprise entre Nissan et Dongfeng Nissan s’attend à ce que les véhicules électrifiés représentent 40 % des ventes de l’entreprise en Europe et au Japon d’ici 2022. Ce chiffre atteindra 50 % d’ici 2025. Aux États-Unis, Nissan prévoit un taux d’électrification de de 20 à 30 % d’ici 2025. Quant à la Chine, le taux devrait être compris entre 35 et 45 %. Infiniti n’a pas été oubliée et lancera des modèles électrifiés dès 2021. La marque premium s’attend à ce que ces modèles représentent 50 % des ventes mondiales. Outre les voitures électriques et hybrides, Nissan veut accélérer l’adoption de son système de conduite semi-autonome dans sa gamme. Le constructeur prévoit d’installer le Nissan ProPilot Assist dans 20 modèles vendus sur un total de 20 marchés di’ici 2022. Enfin, Nissan prépare également la connectivité pour la totalité de ses modèles sur certains marchés grâce à la plateforme Alliance Connected Cloud. À terme, le constructeur prévoit de proposer des services comme le diagnostic à distance ou l’autopartage sur ces futurs modèles connectés.
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RALLYE AÏCHA DES GAZELLES 2018 La vidéo de l'étape 1
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C'est très souvent le cas dans les véhicules de compétitions. Une très belle musique dehors et à l'intérieur on entend tout les bruits des cailloux qui volent, des suspensions qui tapent, de la caisse qui bouge, des trucs qui, dû au malmenage, ne sont plus très bien fixés et tapent un peu sur leurs socles....Surtout sur les bajas ou rallye raids où les véhiculent prennent chers....