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PEUGEOT RIFTER 4X4 CONCEPT ( By DANGEL ) Partenariat avec Dangel Le concept Peugeot Rifter 4×4 a des vrais morceaux de Dangel dessous. Transmission aux 4 roues, pneus à crampon pour accrocher sur terrain meuble, barre lumineuse sur le toit, support de vélo à l’arrière, le Peugeot Rifter 4×4 Concept veut jouer dans la boue. La transmission 4x4 se fait par viscocoupleur et s'enclenche à l'aide d'une molette placée à côté du levier de vitesses. 3 modes sont proposés : 2RM traction, 4RM où la puissance est envoyée aux roues arrière en cas de perte de motricité et enfin Lock, pour bloquer le pont arrière. Ce concept profite d'une garde au sol relevée de 80 mm et de pneumatiques tout-terrain signés BF Goodrich. Le moteur est le BlueHDi de 130 ch. Ce modèle est équipé pour les escapades loin de la civilisation. On trouve une tente de toit, dont le logement est fixé sur les barres de toit. On y accède à l'aide d'une échelle coulissante. Au réveil, les sportifs enfourcheront le nouveau VTT Peugot "eM02 FS Powertube", un VTT à assistance électrique dont la batterie est intégrée dans le cadre. Ce vélo adopte une couleur jaune anodisé satin pour être assorti avec le véhicule. Le jaune se retrouve en effet à divers endroits de la carrosserie : inserts sous les antibrouillards, monogramme dans la calandre, bandes sur les flancs… La carrosserie est recouverte d'un gris pailleté, le hayon est noir. Ces couleurs sont reprises à bord. Les sièges associent l'alcantara noir et un textile gris chiné, avec des surpiqûres jaunes. Ces dernières sont aussi visibles sur le volant et le levier de vitesses. Des inserts en aluminium apportent une touche de chic. Ce véhicule restera, malheureusement, un modèle de salon....

Moi perso, je suis assez fan de "la version plage" du Rubicon, mais en Bretonnie, c'est sans doute pas une bonne idée !

@Ghislain36, Pour info, Rubicon est la série, "High level" du Wrangler Jeep, comme Land Rover sont les derniers dinosaures à fabriquer encore de vrais 4x4 en Europe (Mercedes aussi, dans un autre style avec le classe G), espérons qu'ils n'arrêtent jamais et que cela donne des idées aux autres constructeurs...

JEEP WRANGLER Exercice difficile au moment de présenter une nouvelle génération de Wrangler : il faut à la fois respecter la tradition en conservant les lignes familières qui ont fait le succès du modèle ainsi que les capacités en tout-terrain tout en ajoutant certains éléments de confort et équipements technologiques que la clientèle moderne exige. Et Jeep présente sa copie pour la première fois sur le continent européen au Salon de Genève 2018. La Jeep Wrangler a beau se présenter sous une toute nouvelle génération à cette édition 2018 du Salon de Genève, elle porte sur ses épaules une tradition qui remonte jusqu'à la seconde guerre mondiale, son ancêtre direct étant la célèbre Willis. C'est donc sans surprise que son style générale extérieur n'évolue que très peu. Certes, elle présente quelques légères rondeurs supplémentaires mais on ne peut vraiment pas dire qu'elle soit sculptée par le vent. Elle conserve donc ses ailes avant extérieures, sa calandre à sept trous, ses deux phares rond et ses feux arrière carrés, le tout semblant avoir été majoritairement dessiné avec une règle et une équerre, mais très peu de compas. Et c'est tant mieux, restant éloignée des différentes modes qui frappent le monde automobile, cela lui confère une personnalité certaine et une cote de sympathie élevée. Deux transmissions 4x4... Que les amateurs de franchissement se rassurent, Jeep a soigné la partie transmission de son Wrangler. En effet, celui-ci reçoit deux systèmes à quatre roues motrices. Le premier, Command-Trac (disponible sur les niveaux de finition Sport et Sahara), comprend une boîte de transfert à deux vitesses (rapport de réduction de 2,72 : 1) associée à des trains avant et arrière de nouvelle génération. La seconde, Rock-Trac (disponible sur Rubicon) va plus loin avec un rapport de réduction plus élevé (4.0 : 1) et un différentiel à glissement limité avant et arrière. Le débattement des suspensions est aussi plus important grâce à la désactivation des barres stabilisatrices. A noter que le Jeep Wrangler fait toujours appel à un châssis poutre. Pourtant, tout change sous sa carrosserie faite d'angles : suivant ses versions, puisqu'elle existe en trois et cinq portes, elle s'allonge de sept à dix centimètres et son offre de motorisations s'enrichit nettement. Elle conserve évidemment son V6 3.6 Pentastar, goût américain pour les fortes cylindrées oblige, mais elle est aussi disponible non seulement avec un 4 cylindres 2.0 turbo de 270 ch avec système micro-hybride, un V6 3.0 diesel de 260 ch et on parle même dans un futur proche d'un moteur hybride rechargeable. Comme quoi, tout arrive. La boîte est une moderne automatique à huit rapports mais la tradition continue d'être respectée au niveau de la transmission puisqu'une gamme de vitesses courte est disponible, ainsi qu'un blocage des différentiels. Non, la Wrangler n'a définitivement pas cédé à la mode des SUV et reste un authentique 4x4 prêt à grimper aux arbres. joli progrès aussi à l'intérieur où règne une ambiance bien moins rustique qu'auparavant : un écran multimédia de 8,4 pouces règne en effet au milieu de la planche de bord qui reçoit de plus des inserts couleur carrosserie. Chez JEEP, on pense à tout : Enlevez la capote, retirez les portes et abaissez le pare-brise sur le capot et vous obtenez le parfait véhicule de plage Et bien évidemment, la version Sahara !!!

Un petit teaser du RACE DÉSERT CHALLENGE A savourer sans aucune modération !!!

C'était le moteur de la corvette LS3 sur les versions précédentes, ça ne sera pas le cas sur cette nouvelle version. Pour les sièges arrières...Bah avec KHAN, tout est possible, donc a voir et entièrement d'accord avec toi pour tes 2 dernières remarques : Quelle merveille !!!

LAND ROVER DEFENDER 6X6 DECOUVRABLE ( Prepa KHAN DESIGN ) Flying Huntsman Coach Built 6×6 Soft Top Pour répondre à @Ghislain36, voici le DEF 6x6 découvrable qui est sur le toit du DEF 6x6 présenté au salon de Genève 2018. C'est un DEF passé entre les mains du préparateur KAHN ( KHAN DESIGN), nommé "Flying Huntsman Coach Built 6x6 Soft Top". Avec sa gamme Flying Huntsman, Kahn Design surfe sur la vague tracée par le Mercedes Classe-G. Avec donc comme prochaine étape une version découvrable à la matière du Maybach G650 Landaulet… En élargissant et rehaussant le Defender, Kahn a donc donné naissance au Flying Huntsman. Devenu par la suite un modèle 6×6, puis un pick-up également 6×6, plus apte à arpenter les dunes du désert qu’à transporter le matériel à la déchetterie voisine… Mais même si le Defender a quitté les chaînes de production depuis quelques mois déjà, Afzal Kahn n’en a pas terminé avec lui. Prenant la suite du Mercedes-Maybach G650 Landaulet présenté au salon de Genève il y a un an, la nouvelle déclinaison du Flying Huntsman sera donc un découvrable, pour sa partie arrière. Mais il conservera ses 6 roues motrices, dénommé Flying Huntsman Coach Built 6×6 Soft Top… On notera néanmoins d’après l’illustration communiquée, ce modèle n’adopte pas le capot allongé. Un élément qui caractérise les Flying Huntsman dotés d’un V8 6.2 430 ch d’origine GM… On ignore donc quelle sera la mécanique de l’engin. L’espace dévolu aux passagers arrière semble en revanche particulièrement généreux, puisqu’ils sont installés au niveau du troisième essieu.

Bien vu, il y en à au moins un qui suit , allez on s'active au fond de la classe !

LAND ROVER DEFENDER 6X6 Le monstre LAND ROVER DEFENDER 6X6 du salon de Genève 2018...En photo seulement pour le moment (je vous en dirais plus d'ici quelques jours, soyez patient !)

Salut tout le monde et bon jeudi !!! Aujourd'hui c'est

MERCEDES AMG G63 Le SUV approche les 600 chevaux ! Il n'aura pas fallu longtemps avant que la nouvelle génération de Mercedes Classe G ne passe entre les mains d'AMG. Celui que l'on appelle souvent le sorcier d'Affalterbach rejoue la même partition qu'auparavant avec la génération précédente en dévoilant le G63, un SUV bodybuildé. Et s'il le fait aussi rapidement, c'est à la fois parce que le véhicule sera l'une de stars du salon de Genève 2018, mais sans doute aussi pour couper l'herbe sous le pied des préparateurs qui affectionnent le Classe G, on pense notamment à Brabus. Comme on ne change pas une équipe qui gagne, le nouveau Mercedes-AMG G63 diffère aussi peu de son aîné du même nom que le Classe G "classique" de son prédécesseur. Du moins à l'extérieur. Si la calandre est spécifique, avec des rayons verticaux, s'inspirant largement de l'AMG GT, le bouclier avant est également lui plus imposant avec des entrées d'air béantes, et un pare-buffle a été ajouté donnant encore plus de force visuellement au déjà très imposant SUV. Ceci dit, même sans cette grosse protection chromée, le G63 se dote de deux protections verticales chromées sur le pare-choc avant. Les jantes peuvent elles grimper jusqu'à 22 pouces. On notera enfin le petit clin d'oeil à la génération précédente avec les sorties d'échappement qui se font toujours sur le côté, sous les portières avant ! Comme dans la plupart des modèles AMG portant le nombre « 63 », c’est donc à présent le V8 4.0 Biturbo qui s’est installé à bord du Classe-G modèle 2018. Il développe ici 430 kW / 585 ch et 850 Nm, et se voit associé à la transmission automatique à 9 rapports, et bien entendu la transmission intégrale à 3 blocages de différentiel… Ainsi doté, le G63 exécute le 0 à 100 km/h en 4,5 s. Pas mal pour un engin tel que lui, pesant 2485 kg . Mais les lois de la physique imposent néanmoins de limiter sa vitesse maximale à 220 km/h, ou 240 avec l’option du Driver’s Package AMG. Ce qui ne l’empêche pas de conserver ses aptitudes en tout-terrain, qu’il s’agisse des différentiels donc, mais aussi de la garde au sol, des débattements de suspension ou de la gestion électronique avec les différents modes Sable, Trail, Rocher. Pas de miracle sur la consommation, malgré la coupure des cylindres à charge partielle. Le G63 annonce 13,2 l/100 km en cycle, soit 299 g/km de CO2. À l'intérieur, cette version AMG ne se distingue pas beaucoup du Classe G classique, si ce n'est dans le traitement des matériaux. On remarque le logo AMG sur le volant, lequel s'enrobe de cuir Nappa, et les palettes derrière le volant en métal galvanisé.

PORSCHE MISSION E CROSS TURISMO Porsche a dévoilé un concept-car surprise à Genève sous les traits du Mission E Cross Turismo, une Mission E inspirée par les modèles Allroad d’Audi. Ce break surélevé est annoncé comme une étude de style qui pourrait rejoindre éventuellement la future Mission E. Pour le salon de l’automobile de Genève, la Porsche Mission E prend de la hauteur, cible la Tesla Model X, et adopte le badge « Cross Tursimo » au passage. Esthétiquement, le Mission E Cross Turismo est un mélange de Panamera Sport Turismo et de Mission E. De cette dernière, il en reprend le regard inédit à quatre LEDs et les entrées d’air à l’avant. Le Mission E Cross Turismo reçoit une garde au sol rehaussée et les attributs de type « baroudeur » comme les arches de roues. Avec ses 4,95 m de long, ce break surélevé offre de la place suffisante pour 4 personnes. L’habitacle fait la part belle au digital avec la présence d’un large écran sur une bonne partie de la planche de bord. Le Cross Turismo offre un innovant système de suivi oculaire. Concrètement, le système garde un œil sur la vision du conducteur afin de lui envoyer la meilleure information possible au bon moment. Un affichage tête haute est également de la partie. Autre innovation inattendue de la part de Porsche, le concept embarque un drone compagnon de route. A tout moment (à l’arrêt bien-sûr), un drone peut sortir du coffre et prendre son envol pour suivre et filmer les expéditions du conducteur, le tout de manière autonome. Des performances dignes du blason Porsche Pour la partie technique, ce sont deux moteurs, comme souvent, un posé sur chaque essieu, le tout pour une puissance cumulée de 600 chevaux (440 kW) délivrée au quatre roues. Le 0 à 100 km/h serait abattu en 3,5 secondes (seulement trois dixième de plus que la dernière 911 GT3 RS, présentée en même temps), et les 200 km/h atteint en moins de 12 secondes. Porsche met l’accent sur le fait d’être le premier a développer un régime permanent jamais atteint pour un véhicule électrique, permettant d’enchaîner plusieurs accélérations sans perte de puissance. Les batteries, disposées sous le plancher, promettent une autonomie de 500 km en pleine charge. Pour la recharge rapide, la Mission E Cross Turismo compte sur la même borne de recharge rapide de 800 Volts que la Mission E « classique », avec un temps de recharge de 15 minutes pour 80% de charge, soit 400 km d’autonomie. Il sera par ailleurs possible de recharger la voiture (même de série) via induction, soit en sans-fil, aussi bien sur des places de parking que dans son garage. Par ailleurs, on en sait davantage sur le calendrier du constructeur. La version de série de la berline Mission E sera présentée dans un an presque jour pour jour, lors de l’ouverture de l’édition 2019 du salon de Genève. Quand à la version de série de ce SUV, elle devrait rapidement lui emboîter le pas, puisque le communiqué du constructeur l’indique « prête à prendre la route. »

CUPRA ATECA Seat a dévoilé la star de son stand, le Cupra Ateca, un SUV sportif qui inaugure le lancement de la sous-marque sportive Cupra. Le Cupra Ateca était très attendu et il ne déçoit pas pour qui cherche un SUV sportif tandis tant au nouveau du plumage que du ramage. Le Cupra Ateca arbore une calandre avec en son centre le nouveau logo tribal, un bouclier très échancré, un aileron, un diffuseur arrière noir et quatre sorties d’échappement. L’habitacle se met aussi à la page du nouvel emblème avec une ambiance à base de cuir et d’Alcantara. Celui-ci se retrouve sur l’assise et le dossier des sièges. On a aussi droit à un volant en cuir et à un pédalier en aluminium. Les plus patients pourront s’offrir des sièges baquets Cupra à partir de la mi-2019. Le Cupra Ateca offrira la possibilité d’avoir de la fibre de carbone sur l’aileron et coque de rétroviseurs à l’extérieur ainsi que des inserts du même matériau dans l’habitacle. La sellerie cuir est également au rang des options. Sous le capot, le SUV ibérique abrite une nouvelle connaissance, le moteur 2 litres TSI de 300 chevaux accouplé à une boîte double embrayage DSG à 7 rapports. Seat annonce un 0 à 100 km/h réalisé en 5,4 secondes et une vitesse maximale de 245 km/h. des freins Brembo optionnels juste derrière les jantes bicolores seront aussi disponibles Premier modèle de Cupra, le Cupra Ateca sera suivi par l’Ibiza dont Seat a publié des clichés et l’Arona. Les modèles Cupra seront vendus au sein d’un espace dédié dans 260 concessions européennes.

Santé !!! C'est bon ça !!!! Miam !!!

BMW X4 Premier bain de foule pour le BMW X4 qui n’aura attendu que quelques mois après le nouveau X3 pour être entièrement renouvelé. Comme la première génération lancée en 2014, ce deuxième opus reprend toute la partie avant du X3 et adopte des portes, des ailes arrière et un hayon spécifiques destinés à lui donner une silhouette sportive. Dans l’habitacle, on retrouve aussi la planche de bord du X3 avec une ergonomie et une qualité de présentation soignées. Côté technologies, le BMW X4 adopte un système de navigation et d’infodivertissement contrôlable par une molette, l’écran tactile de 10,2 pouces ou des commandes gestuelles. Le nouveau BMW X4 s’allonge de 8 cm à 4,75 m, s’élargit de 3 cm et abaisse son centre de gravité de 5 cm. L’empattement gagne 5 cm au bénéfice de l’habitabilité et du coffre. Celui-ci gagne 25 litres supplémentaires pour atteindre 525 litres. Sous le capot, le nouveau BMW X4 reprend presque toutes les motorisations du X3. On retrouve donc les blocs 4 cylindres essence de 184 ch et 252 ch ainsi que les blocs diesels de 190 ch et 231 ch. Le X4 fait l’impasse sur le 4 cylindres diesel de 150 ch et le 6 cylindres diesel de 265 ch de la version xDrive 30d . Ce dernier est remplacé par un autre 6 cylindres M40d de 326 ch. Tous les moteurs sont accouplés à une boîte automatique ZF à 8 rapports et à la transmission intégrale xDrive a l’exception du M40d pour cette dernière.

JAGUAR I-PACE Après avoir été présenté officiellement la semaine dernière, le premier modèle électrique de Jaguar s’expose à Genève. L’occasion de découvrir ce félin silencieux qu’est l’i-Pace. Placé dans la gamme entre le E et le F-Pace, le nouveau venu a pour ambition de venir concurrencer très sérieusement le Model X de Tesla. Pour ce faire, le i-Pace peut compter sur de sérieux arguments. A commencer par un style intérieur et extérieur bien trempé, mais pas seulement. Une plastique aguicheuse… mais perfectible En matière d’esthétique, les stylistes de Jaguar (sous la houlette de Ian Callum) ont eu la patte inspirée. Avec son allure râblée, le I-Pace évoque un félin sur le point d’attaquer. Impression accentuée par les arêtes qui ponctuent ses panneaux de carrosserie, plus marquées que sur les autres SUV Jaguar. Le modèle de série conserve les traits du concept présenté en novembre 2016 à Los Angeles, à quelques détails près. Ainsi, en passant à la série, le i-Pace perd le bandeau turquoise qui courait le long de ses bas de caisse et de ses pare-chocs. Et son toit panoramique est légèrement amputé à l’arrière, notamment pour laisser place à l’antenne. Enfin, les rétroviseurs sont moins fuselés. Toutefois, en conservant l’essentiel du concept, le dessin du modèle définitif lui permet d’afficher un cx de 0,29. C’est moins bien que le Tesla Model X (0,24), mais mieux que le Bentley Bentayga (0,32). En revanche, a déplorer, un assemblage perfectible, notamment au niveau des panneaux de carrosserie. L’i-Pace, un SUV richement équipé L’habitacle pour sa part est quasiment repris à l’identique du concept. A l’exception des sièges, plus conventionnels sur le modèle de série. Niveau habitabilité, celle-ci est d’un excellent niveau selon notre envoyé. Bien évidemment, l’équipement est pléthorique, avec notamment la console centrale tactile héritée du Range Rover Velar, l’affichage tête haute, un module de conduite semi-autonome, ou encore un système de navigation prenant en compte l’autonomie restante pour le calcul des itinéraires. Côté technique, l’i-Pace est mue par deux moteurs électriques (un à l’avant et un à l’arrière) délivrant chacun 200 chevaux et 348 Nm de couple. Et permettent de propulser le SUV à 100 km/h en 4,8 secondes. Ils sont alimentés par une batterie de 90 kWh, située sous le plancher pour abaisser le centre de gravité. Celle-ci autorise une autonomie de 480 km en cycle WLTP, et peut se recharger à 80% en 45 minutes sur une prise 100 kW (10 h sur une Wallbox 7 kW). La transmission est intégrale, et reçoit l’aide de l’Adaptive Surface Response. Ce dispositif, lorsqu’il est activé, joue sur les paramètres des moteurs et des freins pour maximiser l’efficacité sur terrains difficiles. D’ores et déjà disponible à la commande, La Jaguar I-PACE sera construite en série dans l'usine Magna Steyr installée en Autriche, près de Graz. Une usine qui assemble déja les E-PACE et F-PACE de Jaguar L'I-Pace s’affiche à 78 380 euros en entrée de gamme (version S). Les tarifs passent ensuite à 86 350 euros pour l’exécution SE, puis 92 360 pour la finition HSE. Une série spéciale limitée des premiers exemplaires du véhicule, la First Edition, qui possède la dotation la plus complète, culmine à 102 570 euros. Soit un tarif proche du Model X 90D, à l’autonomie et aux performances similaires. le constructeur britanique a mis en ligne une vidéo lors de laquelle la I-PACE affronte deux versions de la Tesla Model X : une 75D, et une 100D. Lors des essais réalisés sur le circuit de Mexico City, La Jaguar I-PACE dépasse d'une voiture la Tesla Model X 75D en accélération, sur la distance 0 à 60 mph (soit 96 km/h). L'écart entre les deux modèles de voitures n'est que d'une demie carrosserie, avec la Tesla Model X 100D. 0 à 100 km/h en 4,8 secondes En temps, cela donne le score record de 4,8 secondes pour la Jaguar I-PACE sur la distance 0 à 100 km/h, grâce à ses 400 chevaux sous le capot. Au freinage, là encore, la Jaguar I-PACE surpasse les Tesla. Elle s'arrête quelques bons mètres avant l'une et l'autre voitures, toujours sur le circuit de Mexico, après avoir atteint les 100 km/h / 60 mph.

LEXUS UX Lexus a levé le voile sur son dernier modèle, le Lexus UX qui sera amené à donner du « peps » à sa clientèle et aux ventes de la marquer premium japonaise sur le marché européen. Disons-le d’emblée, le nouveau Lexus UX n’a pas le panache du concept-car éponyme dévoilé au Mondial de l’Auto à Paris en 2016. Le SUV compact est rentré dans le rang pour mieux s’intégrer à la gamme du constructeur japonais. Si le bandeau arrière et les passages de roues presque rectangulaires sont conservés, les lignes en zigzag et les imposants élargisseurs ont disparu. Ce nouveau Lexus UX repose sur une plateforme technique inédite appelée GA-C. Celle-ci permet d’intégrer de multiples aides à la conduite, mais aussi une nouvelle chaîne de traction tout en améliorant la rigidité de la caisse. Côté gabarit, le Lexus UX se situe dans la moyenne de la catégorie, très proches du NX, avec une longueur de 4,49 m ( soit 15 cm de moins que son grand frère et 13 cm de plus que le Toyota CH-R ) une largeur de 1,84 m et une hauteur de 1,52 m À l’intérieur, le Lexus UX est redescendu sur terre. L’habitacle est fidèle aux canons de la marque avec une planche de bord de type horizontal au sommet de laquelle trône large écran de navigation et d’infodivertissement. Seule nouveauté marquante, la montre est cette fois-ci positionnée à gauche de l’écran. L’UX ne compte pas que sur son look pour se démarquer. En toute logique, il est hybride et, de plus, il inaugure une nouvelle mécanique. Il s’agit d’un bloc à essence 2.0 accouplé à un moteur électrique. L’ensemble développe 178 ch, une puissance plus confortable et plus adéquate que le 1.8 hybride du Toyota CH-R (122 ch) pour aller batailler contre les allemands. Lexus indique également avoir travaillé sur l’agrément de conduite. Des efforts ont été consacrés à la réduction de l’effet de patinage, notamment lors des accélérations. Le régime moteur devrait être plus en rapport avec la vitesse du véhicule. Par ailleurs, une nouvelle boîte, indisponible en France, a été développée. Il s’agit d’un système à variation continue mais qui possède un rapport de démarrage afin d’améliorer les accélérations sur les premiers mètres. Au chapitre hybride, une nouvelle électronique de puissance plus petite et plus légère est utilisée pour minimiser les pertes de puissance par chaleur et friction. La batterie nickel métal-hydrure est également nouvelle, avec un système de refroidissement plus compact. Elle est désormais placée sous la banquette arrière afin de préserver le coffre et abaisser le centre de gravité. L’UX va inaugurer une nouvelle transmission nommée E-Four dans sa version 250h (2.0 hybride). Le train arrière bénéficie d’un moteur électrique supplémentaire. En cas de perte d’adhérence des roues arrière, la puissance peut être augmentée, et ce jusqu’à une vitesse maximale de 70 km/h. La version 250h sera disponible en 4x2 et 4x4 (E-Four). Point de salut sans aides à la conduite, Lexus l’a bien compris. Son nouveau SUV se dote des feux de route automatiques, de la lecture des panneaux, de la détection nocturne des piétons, de l’aide au maintien dans la voie, du régulateur adaptatif ou encore d'un dispositif de freinage automatique lors des manœuvres si un obstacle est détecté. Un Lexus UX F Sport au programme L’UX se déclinera en version sportive. Calandre avant, bouclier arrière, jantes de 18 pouces spécifique,s mais aussi suspension pilotée distingueront le F Sport.

La news du jour : "Le porte-parole du gouvernement Benjamin Griveaux a confirmé mercredi 7 mars que la limitation de la vitesse à 80 km/h serait appliquée le 1er juillet sur l'ensemble des routes secondaires sans séparation de voies, malgré la grogne d'élus locaux. "Le dispositif prévu" sera mis en œuvre comme prévu et son efficacité sera évaluée en 2020, a précisé Benjamin Griveaux à l'issue du conseil des ministres, en affirmant que le président de la République et le Premier ministre étaient d'accord sur ce dossier." Comme d'habitude, rien à foutre de l'avis des français, ni même des élus locaux, notre gouvernement. Du moment qu'ils sont d'accord entre eux, tout va bien !!

Afin d' améliorer la lisibilité de ce topic, j'ai fait un sommaire sur le premier post avec des liens cliquables vers tout les véhicules présentés, classé par constructeur et dans l'ordre alphabétique Maintenant, vous ne pouvez plus rien rater de l'actu 4x4 / PICK-UP / SUV !! N'oubliez pas, ce topic est interactif, donc réagissez aux nouveautés, que vous aimiez ou non, vos commentaires sont les bienvenues ! Et si vous avez des questions, j' y répondrais avec plaisir

Je vous en avais parlé Samedi ( nous avions juste des croquis jusqu'à présent) le nouveau concept car SKODA VISION X se dévoile au salon de Genève !!!

RANGE ROVER SV COUPE Land Rover présente le Range Rover SV coupé. Land Rover Design et Special Vehicle Operations, vont sortir des chaînes d’assemblages 999 exemplaires de cet icone du luxe. Du grand luxe et des capacités tout terrain, c’est ce que propose ce navire amiral, qui pourra être personnalisé selon les désirs des clients. Le V8 de 5.0l turbo développant 565 ch va propulser la bête à 100km/h en 5.3s et la vitesse de pointe est annoncée à 266 km/h … si vous avez au minimum 293 900 € (sans les personnalisations). Land Rover se hisse au niveau des véhicules les plus luxueux tout en gardant un état d’esprit Off Road. DONNÉES TECHNIQUES** RANGE ROVER SV COUPÉ MOTEUR ET TRANSMISSION Cylindrée (cm3) 4999,7 Cylindres V8 essence suralimenté Puissance ch / KW 565 / 416 Couple Nm / lb ft 700 / 516 Transmission Automatique à 8 rapports, transmission intégrale permanente, boîte de transfert à 2 rapports CHASSIS Suspension avant et arrière Avant : indépendante, SLA avec double bras inférieurs et suspension pneumatique / Amortissement adaptatif / Dynamic Response Arrière : indépendante, Integral link avec suspension pneumatique / Amortissement adaptatif / Dynamic Response Freins avant Disques ventilés de 380mm Freins arrière Disques ventilés de 365mm Pneumatiques 275/45 R21, 275/40 R22 ou 275/40 R23 Direction Crémaillère ; assistance électrique (EPAS) DIMENSIONS Longueur (mm) 5013 Largeur avec / sans rétroviseurs (mm) 2220 / 2073 Hauteur avec antenne (mm) 1794 Passage de gué 900mm Angle d’approche à hauteur hors-piste (degrés) 31 Angle de crête à hauteur hors-piste (degrés) 26,5 Angle de sortie à hauteur hors-piste (degrés) 25 Garde au sol 263 Capacité de remorquage (Poids maximal autorisé) 3500kg – Crochet d’attelage à déploiement électrique ou support de boule d’attelage (Amérique du Nord et Australie), avec Aide au remorquage PERFORMANCE & CONSOMMATION 0-60mph (sec) 5,0 0-100km/h (sec) 5,3 Vitesse maximale (mph / km/h) 165 / 266 Consommation mixte en l/100km 13,8

Le TOYOTA HILUX DAKAR 2018 (Gazoo racing) au salon de Genève.

LE TEAM ROTHEN 4X4 AU CROATIA TROPHY ITALIAN EXPERIENCE 2018 DAY #3

Salut tout le monde et bon credi !! c'est l'été aujourd'hui !!!

CADILLAC XT4 Cadillac XT4 teasé aux oscars Cadillac nous a donné un avant-goût lors de la diffusion d’un teaser aux oscars du très attendu Cadillac XT4 qui sera dévoilé au salon de New York en avril prochain. La courte vidéo ne nous permet pas de voir la vidéo dans sa totalité, mais confirme que le Cadillac XT4 conservera la silhouette du XT5. Il n’en reprendra pas cependant l’unique V6 3,6 litres de 314 ch. Le XT4 profitera d’une « toute nouvelle série de moteurs puissants et efficaces », a annoncé Johan de Nysschen, PDG de Cadillac. Les rumeurs annoncent un quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres délivrant au moins 275 ch qui serait accouplé a une boîte automatique à neuf rapports. La transmission intégrale ferait partie de la liste des options. Cadillac jouerait également la carte des assistances à la conduite avec la présence du système Super Cruise. Le Cadillac XT4 est appelé à devenir le crossover d’entrée de gamme de Cadillac, se plaçant juste sous le XT5. Tandis que ce dernier est techniquement un concurrent direct du BMW X3, le XT4 sera un rival des BMW X1/X2 et Mercedes GLA.