kriyo

LA VIDÉO OFFICIELLE ETAPE 8 :

JOYEUX ANNIVERSAIRE !!!! Yec'hed mat !!!!

Santé a toi aussi !! Et santé à tous !

Salut à tous et bon jeudi !!! Merci Philippe pour le p'tit déj Ici, il fait......Nuit

Le classement de l'étape du jour : ETAPE 5

N' ayant pu vous faire suivre jour / jour ce début de semaine pour cause de maladie (c'est de saison), je vais rattraper tout ça entre ce soir et demain, mais en attendant.... L'info du jour !!! Après avoir gagné hier lors de la 4ème étape, notre SEB LOEB national abandonne aujourd'hui !!! La cause, douleur au coccyx pour Daniel ELENA suite à une réception compliqué... Pfff, la chance ne veut pas lui sourire sur le DAKAR LE COMMUNIQUE OFFICIEL : Officiel : abandon de Sebastien Loeb. Touché au thorax et aux côtes, trop douloureux pour Daniel Elena Alors qu'ils ouvraient la piste entre San Juan de Marcona et Arequipa (267 km de portion chronométrée), après leur victoire la veille, leur Peugeot 3008 DKR Maxi s'est ensablée deux fois dès les premiers kilomètres. La deuxième fois, ils ont dû attendre l'assistance d'un camion pour s'en sortir. "Le sable était hyper mou. On s'est tanké une première fois, on est reparti. Dans une autre zone, on est arrivé sur une crête où une autre voiture était bloquée. On suivait Nasser (Al-Attiyah, le pilote Toyota), qui est passé, donc on y est allé aussi, mais je n'ai pas vu que derrière la crête il y avait un trou. Et bam, on est tombé net dans le trou!", a expliqué Loeb. Si la voiture fonctionnait encore, c'est l'état de santé d'Elena, qui souffrirait du coccyx, qui les a forcés à dire stop à l'issue de la première partie de la spéciale, au km 53. "Je roulais au ralenti, à 30 km/h, et il hurlait dans la voiture", a décrit l'Alsacien. Sébastien Loeb n'avait jamais caché que le sable n'était pas son terrain de prédilection. Les cinq jours dans le désert péruvien auront donc eu raison de son ambition, alors que se profilaient, à partir de jeudi, des étapes de piste qui lui convenait bien. L'arrêt est brutal, car Loeb et Elena restaient sur un beau succès mardi autour de San Juan de Marcona dans les mêmes dunes. Mais en partant en premier mercredi, ils n'ont pas su naviguer correctement sans s'aider des traces des véhicules partis avant eux. Le duo connaissait également une progression constante sur le Dakar: 9e en 2016, 2e l'année passée, les deux pilotes devaient briller lors de cette édition, leur dernière, à eux et à Peugeot. Ils étaient encore 2e du classement général au départ.

C'est l'heure, apero vin, charcutaille, fromage !!! miam !! Santé les amis !!!

LE CLASSEMENT GÉNÉRAL APRES L' ETAPE 8 : SERRADORI prend la tête du classement !! DE ROOY prend la 4ème place, MARTIN et JULIEN grace à leurs très bonnes performances du jour gagnent une place au classement en prenant respectivement la 7ème et 8ème place

LE CLASSEMENT DE L' ETAPE 8 : VASILYEV au tapis termine à plus d' 1 heure de SERRADORI !! DEROOY fait un superbe show et JULIEN continue à régaler !! Des bouleversements en perspectives pour le classement général

ça y est, on a récupéré notre retard !!! L' étape du jour : ETAPE 8 : Mercredi 10 janvier 2018 Etape 8 : CHAMI / AMODJAR : 4787 km Transfert Départ de spéciale : 1 km Spéciale : Chami / Azougui : 439 km Liaison : Azougui / Amodjar : 37 km La seconde partie de l'étape marathon commencera avec du hors-piste et un franchissement de dunes pas trop méchant. Puis, les participants retrouveront une alternance de pistes rapides et sablonneuses entre deux cordons de dunes pour remonter vers le nord-est. C’est sur cette troisième spéciale mauritanienne que les vrais franchissements de dunes vont commencer. Il ne faut pas perdre de vu que les concurrents seront en étape Marathon et que pour finir avec des véhicules non révisés, ils devront ménager leurs montures. Après la passe d’Azougui, toujours aussi magnifique mais parfois compliquée, l’arrivée ne sera plus très loin sur la nouvelle route de Choum. Une dernière liaison de 37 km emmènera les rescapés des « 500 Miles » vers le bivouac d’Amodjar où les mécaniciens attendront les véhicules de pieds fermes. C’est précisément là que les motards engagés en Malle Moto devraient passer leur nuit la plus courte du rallye.

LA VIDÉO OFFICIELLE DE L' ETAPE 7 :

LE COMMUNIQUE DE PRESSE OFFICIEL ETAPE 7 : VLADIMIR VASILYEV (RUS/MINI) EN PATRON La 2ème journée mauritanienne a lancé la fameuse étape marathon de la 10ème édition de l'Africa Eco Race. En première partie de cette épreuve, les concurrents ont pu profité d'une spéciale de 486 kilomètres sous forme de boucle depuis le bivouac. Une journée de repos pour les mécaniciens puisque c'est dans un parc fermé que tous les véhicules ont ensuite été garés sans avoir le droit d'être approchés par l'assistance avant de reprendre le départ demain. Ne pas prendre de risque A quelques centaines de mètres du bivouac, le départ de la première partie de cette spéciale a permis d'appuyer un grand coup sur l'accélérateur. Une piste rapide légèrement sablonneuse a envoyé les concurrents vers un premier franchissement de dunes plutôt facile avant de revenir sur des pistes très roulantes avec une navigation parfois peu évidentes. La vraie difficulté demeurait dans les 30 derniers kilomètres avec un franchissement de dunes bien copieux et une portion d’herbes à chameaux à éviter absolument pour ne pas endommager les véhicules. Une spéciale périlleuse où la prudence était de rigueur avant de rejoindre le parc fermé au milieu des 900 kilomètres à parcourir en deux jours. Une bataille intense Comme annoncé, le duel Vasilyev-Serradori a fait vibrer les pistes mauritaniennes sur cette spéciale sablonneuse. Mathieu Serradori et Fabian Lurquin (FRA/MCM) ont eu la lourde tâche d'ouvrir sur un tracé roulant mais piègeux en navigation. Une difficulté qui n'a pas fait ralentir Vladimir Vasilyev et Konstantin Zhiltsov (RUS/MINI). Les champions en titre sont parvenus à dépasser l'équipage franco-belge pour un nouveau duel intense sur une bonne partie de la spéciale. Les russes s'offrent finalement la victoire du jour en reprenant deux minutes à leurs poursuivants au général. Une petite erreur de pilotage et un ensablement plus tard, c'est le buggy de Guillaume Gomez et François Borsotto (FRA/OPTIMUS) qui prend la 3ème place du jour avec 30'27" de retard. Pascal Thomasse et Pascal Larroque (FRA/OPTIMUS) restent eux confortablement installés sur la 3ème marche du podium au général en terminant 4ème aujourd'hui. En T2, la spéciale comportant des secteurs très roulants a fait le bonheur des puissants FORD Raptor puisque Robert Szustkowski et Jaroslaw Kazberuk (POL/FORD) terminent en 28ème position et devancent Alexey Titov et Andrey Rusov (RUS/FORD), sur le même véhicule. Toujours premier chez les camions, Gerard De Rooy (NL/IVECO) a dû changer un pneu durant la spéciale et termine 7ème tout en conservant son 5ème rang au général.
 Le pilote des Pays Bas devance Miklos Kovacs, Peter Czegledi et Lazslo Acs (HUN/SCANIA) de plus en plus présent aux avants postes et Tomas Tomecek (CZE/TATRA), toujours aussi performant et ce, bien qu’il pilote et navigue seul. Il réalise chaque jour un véritable exploit puisqu’on sait que cette année, la navigation est particulièrement relevée. Au général, même si le Tchèque a perdu un peu de temps sur le Hongrois, Tomecek reste 2ème avec un peu moins d’une heure d’avance sur Kovacs. ILS ONT DIT... Vladimir VASILYEV : "C'était une bonne spéciale, on a très bien roulé même si la bagarre a été intense. Tout va bien avec la voiture pour repartir demain." Mathieu Serradori : "On a su gérer cette première journée sur les 900 kilomètres sans assistance. On est partis sur un bon rythme, Vasilyev nous a ensuite rattrapé et on ne l'a pas lâché. On n'a pas fait d'erreur, Fabian a fait une très bonne navigation et on n'a pas eu de soucis. Je pensais que nous pouvions rouler plus vite que lui mais on s'est retrouvé côte à côte à 200 km/h sans parvenir à les reprendre."

LA VIDEO "INSIDE" ETAPE 7 : au départ !!

L'EXCLU PGR !!! LES LEADERS PAR CATEGORIE GROUPE T1 : Tout terrain modifié T1.1 (essence 4 roues motrices) : IMSCHOOT / VAN HYFTE (BEL) sur TOYOTA ( à 05:35:05 du leader et 10ème du général) T1.2 (diesel 4 roues motrices) : VASILYEV / ZHILTSOV (RUS) sur MINI (également leader du général) T1.3 (essence 2 roues motrices) : SERRADORI / LURQUIN (FRA) sur LCR3 ( à 00:16:23 du leader et 2ème du général) T1.4 (diesel 2 roues motrices) : FROMONT / FROMONT (FRA) sur BUGGY ( à 04:57:55 du leader et 7ème du général) GROUPE T2 : Tout terrain de série T2.1 (essence) : SZUSTKOWSKI / KAZBERUK (BUL) sur FORD ( à 17:10:45 du leader et 29ème au général) T2.2 (diesel) : VAN LIESHOUT / SLAAT (NDL) sur TOYOTA ( à 18:57:39 du leader et 32ème du général) GROUPE T4 : Camion T4 : DE ROOY / RODEWALD / TORRELLARDONA (NDL) sue IVECO ( à 03:45:00 du leader et 5ème du général) ET pour NISSAN : ROSSI / BOURSOI (ITA) : 27ème au général à 16:54:47 du leader /4ème en catégorie T1.1 PEDECHE / PERRY (FRA) : 26ème au général à 16:52:51 du leader / 3ème en catégorie T1.1 TOSCANO / MARTIN (FRA) : 46ème au général à 39:31:04 du leader / 11ème en catégorie T1.3

LE CLASSEMENT GÉNÉRAL APRES L' ETAPE 7 : FROMONT / FROMONT reviennent dans la course après une étape 6 en demi teinte et reprennent du même coup la tête de la catégorie T1.4 et JULIEN / JULIEN continuent leur remonté !!

LE CLASSEMENT DE L' ETAPE 7 : VASILYEV annule les 2 minutes reprisent par SERRADORI la veille !!!

Retour maintenant sur l'étape d'hier : ETAPE 7 : Mardi 9 janvier 2018 Etape 7 : CHAMI / CHAMI : 508 km Transfert Départ de spéciale : 2 km Spéciale : Chami / Chami : 486 km Transfert Bivouac : 20 km La particularité de l’AFRICA ECO RACE est d’avoir au programme deux étapes sous forme de boucle. Un véritable avantage pour les assistances, l’organisation et la presse puisque le fait de ne pas avoir à changer de bivouac est économique, sécuritaire et reposant. Ce sera d’autant plus vrai cette année pour les assistants que cette boucle de Chami sera aussi, pour la première fois depuis 10 éditions, une étape marathon baptisée « 500 Miles » ! Cela signifie qu’en sortie de la spéciale, les véhicules rejoindront un parc fermé sans que les mécaniciens n’aient pu intervenir. Le début de l’étape sera plutôt rapide, très sablonneux en remontant à nouveau vers le chemin de fer de la veille. Un premier franchissement de dunes plutôt facile permettra un retour sur des pistes rapides avec toutefois de nombreux changements de direction et une navigation parfois peu évidente. La présence de nombreux orpailleurs qui creusent des trous partout dans le désert, rendra l’évolution sur ce terrain encore un peu plus compliquée. La vraie difficulté sera les trente derniers kilomètres du jour composés d’un franchissement de dunes copieux et d'herbes à chameaux pas toujours agréables pour les mécaniques et les hommes. L'arrivée sera jugée à la « Gare du Nord » où les concurrents trouveront du carburant avant d’entrer en Parc Fermé.

DE ROOY et son IVECO dans l'étape 6 en vidéo :

VIDÉO OFFICIELLE DE L' ETAPE 6 :

LE COMMUNIQUE DE PRESSE OFFICIEL DE L'ETAPE 6 : 6EME ETAPE DU MAROC A LA MAURITANIE DAKHLA/CHAMI : 650 KM MATHIEU SERRADORI (FRA/MCM) ACCELERE Après un réveil très matinal aux alentours de 4h du matin, tous les participants ont dû prendre la route de nuit pour une liaison de 429 kilomètres avec le passage de la frontière. La 10ème édition de l'Africa Eco Race continue sa route en Mauritanie où la 1ère spéciale de 211 kilomètres s'est achevée dans les dunes. Changement de décors C'est sans soucis que tous les véhicules du rallye ont pu rejoindre la Mauritanie ce matin. Une organisation sans encombre qui a même permis aux concurrents de se reposer après avoir rejoint le départ de la spéciale deux heures avant la course. Un parcours qui a laissé place au hors-piste et au sable. Partis de Boulanouar, les concurrents ont très rapidement rejoint le chemin de fer de la mine avant de déboucher sur une succession de hors-pistes. Un franchissement de dunes juste avant l'arrivée de la spéciale leur a donné un petit avant-goût de ce qui va les attendre dans les prochains jours et surtout à partir de demain avec l'étape marathon... Tout droit dans les dunes C'est un buggy noir qui a surgit seul en premier de la dune précédant la ligne d'arrivée. Mathieu Serradori et Fabian Lurquin (FRA/MCM) ont été les plus rapides pour remporter cette spéciale qu'ils terminent avec un avantage de 2'21" sur les leaders du général Vladimir Vasilyev et Konstantin Zhiltsov (RUS/MINI). Avec une vitesse moyenne de 144 km/h, l’équipage franco belge ont encore montré qu'ils en ont sous le capot. Cette étape principalement sablonneuse a particulièrement plu à Guillaume Gomez et François Borsotto (FRA/OPTIMUS). L'équipage du team MD Rallye Sport prend la 3ème place et a enfin réussi à régler tous ses problèmes mécaniques pour remonter sur ses concurrents. Un terrain de jeu qui convient bien aux Optimus puisque Pascal Thomasse et Pascal Larroque (FRA/OPTIMUS) se sont eux amusés en sautant sur les pistes même si les dunes inquiètent toujours le pilote, souhaitant éviter à tout prix de s'ensabler... Ils conservent leur 3ème place au général avec près de 1h30 d'avance sur Rémy Vauthier et Jean Brucy (SUI/OPTIMUS).
 En T2, Alexey Titov et Andrey Rusov (RUS/FORD) ont fait parler la puissance de leur F150 RAPTOR pour remporter la catégorie toujours devant Gilles Gard et Manuel Pinto (FR/MITSUBISHI). Cependant Gerard Van Lieshout et Guido Slaats (NDL/TPOYOTA) reste leader de cette classe réservée aux véhicules de série. Le premier camion reste et demeure celui de Gerard De Rooy, Darek Rodewald et Moi Torrellardona (NL/IVECO) qui termine 12ème et reste 5ème au général à 1'01' du pied du podium. Tomas Tomecek (CZE/TATRA) sort 2ème de la spéciale devant Johan Elfrink et Dirk Schuttel (NDL/MERCEDES). ILS ONT DIT... Mathieu Serradori : "Je ne sais pas si c'est une bonne opération de gagner aujourd'hui pour ouvrir l'épreuve marathon de demain... Mais il fallait rouler pour ne pas perdre de temps auprès de Vasilyev qui lui a suivi sa stratégie en gérant son avance au général. C'était une étape de remise en jambes et tout s'est bien passé, on est contents. Vasilyev nous a laissé passer pour qu'on ouvre demain, ça va être difficile de faire la trace dans les dunes..." Vladimir VASILYEV : "C'était une course stratégique pour ne pas ouvrir demain mais c'était une étape pour les gros moteurs avec un tracé tout droit. Pour le marathon il va falloir garder la tête froide sans faire d'erreur pou la voiture et pour les pneus car on a que trois roues de secours !" Guillaume GOMEZ : "On a enfin réussi à tout mettre en œuvre aujourd'hui, la mécanique, la navigation et le plaisir de doubler les autres voitures. Ce n'était pas facile de dépasser en évitant les pièges, on a quand même réussi à monter jusqu'à 200 km/h. On a roulé à fond sans prendre de risque, la navigation n'était pas compliquée mais il fallait bien rester concentrés." Gerard DE ROOY : "C'était une longue journée qui a commencé très tôt mais le passage de la douane a été assez rapide, nous avons donc dû attendre en arrivant tôt au départ de la spéciale. Quelques buggys m'ont doublé, je n'ai pas été le plus rapide mais je vais encore y aller doucement demain, bien faire attention et profiter du sable."

LA VIDÉO "INSIDE" ETAPE 6 :

Et comme pour chaque étape : L'EXCLU PGR !!! LES LEADERS PAR CATEGORIE GROUPE T1 : Tout terrain modifié T1.1 (essence 4 roues motrices) : IMSCHOOT / VAN HYFTE (BEL) sur TOYOTA ( à 04:34:43 du leader et 8ème du général) T1.2 (diesel 4 roues motrices) : VASILYEV / ZHILTSOV (RUS) sur MINI (également leader du général) T1.3 (essence 2 roues motrices) : SERRADORI / LURQUIN (FRA) sur LCR3 ( à 00:14:14 du leader et 2ème du général) T1.4 (diesel 2 roues motrices) : MARTIN / BIGOT (FRA) sur MERCEDES ( à 04:08:10 du leader et 7ème du général) GROUPE T2 : Tout terrain de série T2.1 (essence) : SZUSTKOWSKI / KAZBERUK (BUL) sur FORD ( à 14:48:52 du leader et 32ème au général) T2.2 (diesel) : VAN LIESHOUT / SLAAT (NDL) sur TOYOTA ( à 14:29:59 du leader et 29ème du général) GROUPE T4 : Camion T4 : DE ROOY / RODEWALD / TORRELLARDONA (NDL) sue IVECO ( à 02:58:18 du leader et 5ème du général) ET pour NISSAN : ROSSI / BOURSOI (ITA) : 30ème au général à 14:34:04 du leader / 3ème en catégorie T1.1 PEDECHE / PERRY (FRA) : 28ème au général à 14:24:22 du leader / 2ème en catégorie T1.1 TOSCANO / MARTIN (FRA) : 45ème au général à 30:14:52 du leader / 10ème en catégorie T1.3

LE CLASSEMENT GÉNÉRAL APRES L'ETAPE 6 : Pas de grands bouleversements dans ce top 10. A noter tout de même que MARTIN / BIGOT sur MERCEDES gagnent encore une place (7) et que l''équipage JULIEN / JULIEN (OPTIMUS MD) en pleine bourre depuis le début du rallye entre enfin dans le top 10.

LE CLASSEMENT DE L' ETAPE 6 : Très belle spéciale de SERRADORI qui remporte le scratch et reprend 2,20 minutes à VASILYEV. 8 équipages français deans le top 10 de cette étape !!! Et pour la première fois depuis le début du rallye, pas de DE ROOY (12ème) ni de camion dans le top 10...

Reprenons la course et allons faire un petit bonjour à la MAURITANIE avec la présentation de l'étape 6 : Lundi 8 janvier 2018 Etape 6 : DAKHLA / CHAMI : 650 km Liaison : Dakhla / Boulanouar : 429 km Spéciale : Boulanouar / Chami : 211 km Transfer au bivouac : 10 km Après un départ très matinal de Dakhla pour rejoindre les postes frontières entre le Maroc et la Mauritanie en tout début de matinée, afin de satisfaire aux formalités douanières largement simplifiées spécialement pour le rallye, c’est encore une spéciale entièrement nouvelle qui attendra les participants. Au programme de cette première journée Mauritanienne, changement radical de décor et place au hors-piste et au sable. La piste au départ de Boulanouar rejoindra rapidement le chemin de fer de la mine avant de déboucher sur une succession de hors-pistes. A n’en pas douter un très bon exercice pour la navigation qui sera bien utile pour les jours suivants. Un franchissement de dune juste avant la ligne d’arrivée de la spéciale sera un site de prise de vues idéal pour les médias. En effet, il n’y aura qu’une dune à franchir mais ce sera loin d’être la plus facile du rallye. Là encore, une excellente mise en condition pour la suite des hostilités.