Le noyau du calorstat se déplace en fonction de la température du liquide dans lequel il baigne et ouvre ainsi plus ou moins le circuit vers le radiateur. Au bout de ce noyau se trouve un opercule qui, lui, dans le même temps, vient obstruer le circuit vers la culasse.
Le fait de retirer le calorstat ouvre complètement les deux circuits en permanence.
Les liquides étant de gros paresseux, ils prennent toujours le chemin le plus facile à savoir celui qui a le moins de perte de charge.
Et rien ne prouve que c'est par le radiateur qu'il y en a le moins.
Si le circuit s'établit par le radiateur, le moteur sera trop refroidit.
Si le circuit s'établit directement, sans passer par le radiateur ou insuffisamment, le moteur chauffera.