Une association de nains a monté un club de football, et chaque dimanche ses équipes jouent l'une contre l'autre.
Après le match, tous vont dans un café on leur réserve la salle à l'étage pour boire un vin chaud.
Un dimanche, un client bourré, accoudé au comptoir, voit descendre dans l'escalier un, deux, trois, cinq, dix enfin onze
nains en maillot bleu qui traversent la salle, passent devant lui et sortent dans la rue.
Il se frotte les yeux et recommande un whisky.
A peine l'a-t-il bu qu'il voit un, deux, cinq, dix puis onze nains en maillot rouge descendre à leur tour l'escalier, passer
devant lui, sortir dans la rue.
Il appelle Tony, le propriétaire du bistrot et lui dit à l'oreille :
"Je voudrais pas t'inquiéter, mais y'a ton baby-foot qui se barre".
-----------------
Un évêque, un curé et une bonne soeur reviennent des Journées Mondiales
de la Jeunesse de Cologne.
Dans le train, ils lisent tous les trois "La Croix".
L'évêque, un peu joueur, leur dit :
- Et si on faisait un concours de mots croisés puisqu'on a tous le même
journal ?
Ils s'y mettent dare-dare et, au bout de 5 minutes, l'évêque s'écrie :
- ça y est, j'ai fini, c'était vraiment facile !
La bonne soeur, 2 minutes plus tard :
- J'ai fini moi aussi, mais ce n'était pas évident.
Dix minutes plus tard, le curé se gratte toujours la tête.
L'évêque vient son secours :
- Mais qu'est-ce qui vous embête ?
Le curé :
- Ben, le 3 horizontal... j'ai bien la deuxième lettre, le "O", la
troisième le "U", la quatrième le " I ", ensuite "L", "L", "E" et "S"...
Mais je ne vois pas du tout : est-ce que c'est nouilles ou mouilles, non je ne vois
vraiment pas.
L'évêque :
- Voyons la définition : " se vident quand le coup est tiré "... mais ce
sont les douilles, bien sûr.
La soeur, d'une petite voix :
- Vous n'auriez pas une gomme...
-
-----------------------------------------
Un fermier trouve son cheval malade. Il fait venir le vétérinaire. Ce
dernier lui dit que le cheval est infecté par un virus et qu'il va
prescrire un remède. Si le remède n'a pas agi dans les trois jours, il faudra
abattre le cheval pour éviter d'infecter les autres animaux.
Le cochon de la ferme, qui a tout entendu, va trouver le cheval et lui
dit :
« Fais un effort, lève-toi »
Mais le cheval est trop malade. Le deuxième jour, même chose, le cochon
dit au cheval :
« Fais un effort, lève-toi ». Mais le cheval est encore trop malade.
Le troisième jour, le cochon dit :
« Fais un effort, lève-toi, sinon ils vont t'abattre aujourd'hui. » Le
remède n'a toujours pas fait d'effet, mais dans un dernier sursaut, grâce
aux conseils du cochon, le cheval arrive à se lever devant le fermier et
le vétérinaire.
Le fermier, tout content, dit :
« Pour fêter l'événement, on va tuer le cochon ».
Moralité : Ne te mêle jamais de ce qui ne te regarde pas...