des photos de P. Plisson sur son blog : http://www.philip-plisson-blog.com/
et un commentaire trouvé sur fb :
Nous pourrons quand même remercier mr plisson, qui grace a ses passes droits difficilement justifiables, probablement commerciaux ou interessés ( le chantier n'etait il pas fermé au public pour sa dangerosité, ect, que fait ici un peintre de la marine, sur un chantier confié a une entreprise privée ?) nous fournit quand meme des photos assez détaillées de la basse qualité et de la précipitation de la déconstruction : observez sur son blog les différentes phases de de découpe : la proue est entaillée sans meme avoir eu un demontage correct de la machinerie permettant le relevage de l'ancre(photo 12 en partant du bas ) : dans ce genre de compartiment : probablement de l'amiante pour proteger du feu(obligatoire) , probablement des pcb contenus dans les équipements électriques, tres surement des fluides hydrauliques si la motorisation n'est pas electrique, obligatoirement des graisses, et système de reduction contenant huile ou graisse, souvent tres toxique dans les moto réducteurs (huile ou graisse type boite de vitesse)
d'autres point sont aussi a pointer du doigt : la découpe a l'oxycoupeur de ses vieilles plaques de toles pleine de peinture, nous sommes curieux de voir le volume de poussière toxique résultant de la combustion de la peinture.
nos craintes quand au volume de copeaux de peinture dégagés est avéré: observez les éclats sur les tôles: et bien sur aucun système de ramassage , simplement mélangées et broyées dans le sable , les coquillage de la rivière promettent d’être remplis de supers oligos éléments ces prochaines années!
un détail précieux sur une photo de l’intérieur de la coque : l'etat de décomposition avancé du bateau : malgré les couches de peinture, on ne peut que déplorer l'attaque massive de la poutre d'acier, le piquage fait par la rouille est assez impressionnant . ca laisse reveur quand a la qualité de la maintenance de ce rafiot ces 30 dernières années.
mr: plisson nous parlait de professionnalisme de l'entreprise néerlandaise , nous ne pouvons en juger, n'ayant pas la chance d'etre comme lui sur le site, mais ses photos laissent présager leur méconnaissance du lieu : leurs engins sont ils amphibies??? des digue de sable sur cette plage , connue pour son shorebreak violent , ne peuvent tenir , notamment avec les marées.. ne parlons même pas de leur amateurisme pour trouver le lieu du naufrage lorsque les semi remorques ont tourné pendant des heures dans la commune avoisinante pour livrer la grue.
nous remercions donc d'avance les autorités ainsi que les entrepreneurs d’éviter de nous coller une triple peine en rajoutant une pollution massive liée a la volonté de faire disparaitre au plus vite cette verrue