Je rejoins votre propos mon cher, j'ajoute qu'il serait fort judicieux que, d'une manière générale, nos élites de tous poils et obédiences s'obligent, contre l'orgeuil que confère généralement le pouvoir, à vivre de temps en temps comme nous autres piétailles et manants.
A trop se couper du peuple le peuple vous la coupe, pensa sans doute la tête de notre Louis serrurier au fond de son panier d'osier