Corrivolpi

Qui pense peu se trompe beaucoup ... Léonard de Vinci

Habemus papam !

Bon, ça fait 3 fois que tu dis merci black ... je verrouille, l'émotion te fait radoter Au plaisir de te lire dans d'autres sujets.

Et c'est le meilleur moyen d'en oublier ...

De rien, on attend tes photos avec impatience !

Bienvenue sur le forum et santé Mets nous des photos de tes trolls, on aime ça !

En tout cas, n'allez pas toucher aux cônes de signalisation, les corses (Pirate et moi) n'en ont plus pour vous les remplacer !

Pierso va te faire ça sur mesure s'il passe par là.

Et bien, de mon avis, à ce prix là, tu as fait une très belle affaire ! Content pour toi, j'espère qu'on aura d'autres photos.

T'as bien raison de hausser le ton, c'est sûrement que t'avais à faire à des sourds.

Bravo Laurent, même Philippe ne l'avait pas dans son tome 4

Salut, tout est expliqué là: Insérer des images dans vos discussions - Blogs - Le Site des Patrol's

Si on le suit, pas si on le croise.

Salut, bienvenue sur le forum et santé

Santé

Salut, bienvenue sur le forum et santé

Un 260 Merca vu la hauteur du toit, je remets ta photo en direct :

Bienvenue sur le forum et santé

Salut à tous et merci Philippe pour le café, bonne journée à tous

Bienvenue sur le forum et santé

Salut et bienvenue ici, a saluta

Il a goûté sa sauce et s'est endormi sûrement.

Ben cherche là Philippe, tu me diras à quelle page elle est ?

Histoire alsacienne. Dans un petit village reculé du Sundgau , un très vieil homme était étendu, mourant, dans son lit. Soudain il sentit l'odeur des Fasenachtschànkele (beignets de carnaval). Il prit le peu de force qui lui restait pour se lever du lit. Se tenant contre le mur, il se dirigea hors de la chambre à coucher. Dans un plus grand effort encore, il descendit l'escalier en tenant la rampe avec ses deux mains. En respirant péniblement, il se tint dans le cadre de la porte, regardant vers la cuisine. S'il n'avait pas été à l'agonie, il se serait déjà cru au ciel ! Là, sur la nappe de la cuisine, il y avait des centaines de ses beignets favoris. Était-il déjà au Ciel ? Etait-ce un avant goût du Paradis ? Ou peut-être encore un acte héroïque de sa femme dévouée désirant qu'il quitte ce monde en homme heureux ? Dans un ultime effort, il rampa vers la table. Se soulevant péniblement sur ses mains tremblantes, il tenta de prendre un Schànkala. A ce moment précis, sa femme lui assena un coup de spatule sur les doigts : "Touche pas ! C'est pour l'enterrement !"

Merci Pierre, mais des panzani.