<!-- Easy Plugin for AdSense V7.51 --> Quelques minutes après le décollage, lors d’un vol pour Montréal, une blonde assise en classe économique se lève, se dirige vers la première classe et y prend place.
L’agent de bord la voit faire et décide de lui demander son billet pour le vérifier.
Alors il explique à la blonde qu’elle a payé pour une place en classe économique et qu’elle ne peut s’assoir en première classe. Il l’invite donc à retourner en classe économique.
La blonde lui répond :
» Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici ! »
L’agent de bord va dans la cabine de pilotage et explique au pilote et au co-pilote qu’il y a une blonde assise en première classe qui refuse de retourner en classe économique alors qu’elle avait payé pour.
Le co-pilote va voir la blonde et tente de lui expliquer que puisqu’elle a payé uniquement pour un billet en classe économique elle doit retourner s’y asseoir.
La blonde lui répond :
» Je suis blonde, je suis belle, je vais à Montréal et je reste assise ici ! »
Le co-pilote retourne dans sa cabine et explique au pilote qu’ils doivent contacter la police pour arrêter la blonde lors de l’atterrissage car elle refuse de retourner en classe économique.
Le pilote demande au co-pilote : » Vous avez bien dit qu’elle était blonde ? Je vais régler le problème, car je suis marié à une blonde, je sais comment me faire entendre. »
Le pilote se rend auprès de la blonde et lui chuchote quelque chose à l’oreille.
La blonde lui dit :
« Oh je suis désolée ! » et elle se lève puis retourne à son siège en classe économique.
L’agent de bord et le co-pilote sont étonnés et demandent au pilote ce qu’il a pu lui dire pour qu’elle accepte de retourner en classe économique sans faire de chichi.
Et le pilote répond:
« La première classe ne va pas à Montréal. »
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En plein hiver, une institutrice de maternelle aide les enfants à s’habiller pour aller en récréation. Un des enfants a besoin d’aide pour enfiler ses bottes. Après avoir poussé, tiré, re-poussé et re-tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées. Le gamin dit alors :
– Elles sont à l’envers, maîtresse.
Constatant l’inversion des pieds, l’instit les enlève difficilement, galère autant pour les remettre et parvient à les enfiler. L’enfant lui dit cette fois :
– C’est pas mes bottes.
L’instit se mord les lèvres pour garder son calme et lui répond :
– Pourquoi tu ne l’as pas dit avant ?
Le gosse, conscient d’avoir contrarié sa maîtresse, ne répond pas. Il la laisse enlever à nouveau les bottes avant de lui préciser :
– C’est pas mes bottes, c’est celles de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre.
L’instit a envie de pleurer. Elle respire un grand coup et entreprend de remettre les bottes, avec autant de difficultés. L’opération est réussie et la maîtresse est fière d’elle. Pour aller jusqu’au bout, elle lui fait enfiler son manteau, lui met son écharpe et lui demande :
– Où sont tes gants ?
– Pour ne pas les perdre, je les ai mis dans mes bottes