Etant habitué de nos campagnes profondes, dans lesquelles j' ai grandi, entre une chêvre non labellisée et un cep de vigne non accrédité par Bruxelles, je confirme cette évidence: utiliser les chemins avec un véhicule permet de les entretenir et d'assurer leur pérénité.
Bien sur, je suis totalement d'accord pour que l'on définisse une partie du territoire national à titre d'essai à moyen terme, sur lequel seuls les piétons en mal de nature seront habilités à circuler. A la condition expresse qu' ensuite, ce soient les mêmes qui viennet entretenir lesdits chemins, sans calculer leur labeur au prorata des km annuels parcourus avec leurs grolles à 1000 balles de ches Déca@toulon. Entretien à la main, bien sur, de façon à ne pas gener la nidification du fuligule partouzeur, qui pourra milouiner guilleret à ses occupations champetres, en se tordant le bec de rire à la vue des rougeauds dans l'effort imposé par le jusqu'au boutisme de leur bêtise crasse.