Bisous les rombiers, salut les rombières, léchouille ma volaille.
Fière et belle journée, avec un soleil à décoller les rétines des parisiens fragiles et des anglais délavés. Un temps à barbotter sereinement, à grenouiller à l'ombre, à pétanquer sous un tilleul ou à roucouler derrière les persiennes complices.
Un temps à envisager la grillade du soir comme une consécration, quand la cote à l'os chante sur la braise, et qu'on la tartine amoureusement de la moelle cuite et d'un joli hachis d'ail confit et de persil...