Les Ouzbèques, ils mangent de tout, même du sexe faible ça leur fait pas peur.
D'ailleurs si on les appelle sexe faible, c'est parce qu' elles courrent moins vite, sautent moins haut, portent moins de poids, nagent moins longtemps, et tout le toutim. E c'est comme ça qu' on les aime, nos femmes: complémentaires, douces et délicates, nimbées de cette affolante vocation à nous deviner, stratèges comme pas deux. Parfaitement conscientes de nos désirs avant même que nous les ayons évoqués nous mêmes, on les aime mères attentives, amantes passionnées, on les aime cuisinières hors pair, on les aime....
...on les aime pour tout ce qu' elles sont, et que nous ne serons jamais.